Préserver l'alliance Renault-Nissan "dans l'intérêt des Japonais" aussi déclare Le Maire
Le ministre français de l'Economie, Bruno Le Maire, a affirmé vendredi que "la préservation de l'alliance" entre Renault et Nissan est "dans l'intérêt des Français comme dans l'intérêt des Japonais".
"Le gouvernement français, comme le gouvernement japonais, sont attachés à la préservation de l'alliance entre Renault et Nissan", a répété M. Le Maire, à un journaliste de l'AFP et la presse japonaise, en marge d'une visite au salon L'Usine extraordinaire.
"Nous sommes attachés à la préservation de l'alliance entre Renault et Nissan qui est dans l'intérêt des Français comme dans l'intérêt des Japonais", a déclaré le ministre français, au lendemain d'un entretien à Paris avec son homologue japonais, Hiroshige Seko.
Bruno Le Maire a souligné que "Renault-Nissan, c'est le premier constructeur industriel automobile au monde". "C'est ce qui fait sa force, c'est ce qui lui permet d'investir, c'est ce qui lui permet d'innover, d'avoir des technologies qui sont performantes", a-t-il dit.
Le ministre a indiqué que sa rencontre avec M. Seko avait aussi porté sur la réforme de l'OMC et "la question du commerce international". Les deux ministres ont également évoqué "la bonne coordination" entre les gouvernements français et japonais qui assurent la présidence croisée des prochains G7 et G20, a ajouté M. Le Maire.
L'article vous a plu ? Il a mobilisé notre rédaction qui ne vit que de vos dons.
L'information a un coût, d'autant plus que la concurrence des rédactions subventionnées impose un surcroît de rigueur et de professionnalisme.
Avec votre soutien, France-Soir continuera à proposer ses articles gratuitement car nous pensons que tout le monde doit avoir accès à une information libre et indépendante pour se forger sa propre opinion.
Vous êtes la condition sine qua non à notre existence, soutenez-nous pour que France-Soir demeure le média français qui fait s’exprimer les plus légitimes.
Si vous le pouvez, soutenez-nous mensuellement, à partir de seulement 1€. Votre impact en faveur d’une presse libre n’en sera que plus fort. Merci.