Louis Sarkozy veut obtenir la nationalité américaine

Le fils de Nicolas Sarkozy, Louis, a déclaré mardi être en train de faire des démarches pour acquérir la nationalité américaine. Le jeune homme a fait le buzz récemment en publiant une tribune où il militait pour la légalisation de toutes les drogues.

Prochainement, Louis Sarkozy pourrait devenir Américain. C'est en tout cas ce que le plus jeune fils de l'ancien président de la République désire, comme il l'a expliqué dans un interview à Vice mardi 20.

Le jeune aujourd'hui âgé de 20 ans a en effet passé une bonne partie de sa vie outre-Atlantique. Il y a été au lycée, dans un établissement militaire, et étudie maintenant la philosophie et l'histoire de l'art à la NYU, l'université de New York.

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"J’entame les procédures pour devenir Américain. Je vais donc devoir payer mes impôts ici, et comme tout bon citoyen, j’aimerais savoir où mes impôts vont aller", a expliqué le plus jeune fils de Nicolas Sarkozy et Cécilia Attias.

L'étudiant a récemment fait le buzz en signant un éditorial où il demandait la légalisation de toutes les drogues. C'est d'ailleurs suite à ce papier, publié vendredi 9, qu'il était interviewé.

"Quand on voit les sommes exorbitantes qui sont dépensées en vain dans cette lutte (contre la consommation de drogue), ce qui est assez absurde, on ne peut s’empêcher de poser des questions", a expliqué celui qui se surnomme lui-même Sarko junior, bien qu'il n'ait visiblement pas vraiment les mêmes idées que son paternel.

Conscient que le sujet est encore "tabou" en France, le jeune homme a développé ses idées et n'a pas bougé de ses positions malgré la petite polémique qu'elles ont déclenché. "Ta liberté en tant qu’individu s’arrête au moment où celle d’un autre commence. Quand tu prends la voiture intoxiqué par un verre de whisky ou un joint, tu mets en danger la liberté des autres. Mais si tu es seul chez toi et que tu prends de la cocaïne ou de la méthamphétamine tu ne fais de mal à personne. C’est un peu plus controversé de le dire, mais c’est ce que je pense".