Info trafic du week-end : les Champs-Elysées seront piétons dimanche 1er

Comme chaque mois, le temps d’une journée, la plus belle avenue du monde est réservée aux piétons. Les Champs-Elysées seront interdits aux véhicules de 9h à 19h dimanche 1er juillet sur certains tronçons et jusqu'à 1h du matin lundi pour d'autres.

"Je m'baladais sur l'avenue le cœur ouvert à l'inconnu /J'avais envie de dire bonjour à n'importe qui" fredonneront peut-être les promeneurs dimanche 1er juillet sur les Champs-Elysées. En effet, ces derniers seront piétons comme tous les premiers dimanches du mois depuis avril 2016.

A cette fin, deux aires piétonnes seront mises successivement en place par la Préfecture de police de Paris à l’intérieur des périmètres formés par les voies suivantes qui demeureront, elles, libres à la circulation:

> De 9h à 19h le dimanche 1er juillet:

Rue Arsène Houssaye, rue Lord Byron, rue Châteaubriand, rue Washington, rue d’Artois, rue de Berri, rue de Ponthieu, avenue Gabriel, avenue de Marigny, place Clémenceau, avenue Winston Churchill, cours la Reine, place du Canada, rue François 1er, avenue George V, rue Vernet, avenue Marceau, rue de Presbourg.

> Du dimanche 1er juillet à 18h au lundi 2 juillet à 1h:

Rue Arsène Houssaye, rue Lord Byron, rue Châteaubriand, rue Washington, avenue George V, rue Vernet, avenue Marceau, rue de Presbourg.

Les autorités policières conseillent par conséquent aux automobilistes de contourner très largement la zone concernée.

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Cette piétonnisation mensuelle des Champs constitue une étape de mutation progressive de l'avenue d'ici à 2025. La ville de Paris souhaite en faire un lieu de promenade avec des toits-terrasses, des bars, des restaurants, des cinémas et des théâtres en étage.

"Quand on marche sur l'avenue sans le vacarme de la circulation, on redécouvre des perspectives, des façades, des paysages. C'est vrai que tout touriste étranger qui passe par Paris veut à juste titre venir sur les Champs-Elysées. Mais nous voulons ramener les Parisiens vers ce lieu emblématique qui leur appartient", avait expliqué Anne Hidalgo.