NatureGate et la fable du confinement aveugle

Auteur(s)
Gérard Delépine pour FranceSoir
Publié le 12 août 2020 - 11:58
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Repenser les emballages pour combattre la pollution
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Epidémie du coronavirus
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ANALYSE : Par sa morbidité et sa mortalité la crise du Covid, ne constitue qu’un accident sanitaire comparable aux grandes grippes de l’ère moderne des transports aériens [1]. Elle a cependant réalisé un véritable crash test des institutions démocratiques, de l’économie mondiale, de l’éthique de la recherche et de la fiabilité des plus grandes revues médicales.

 

Nature Gate

 C’est ce dernier point que nous illustrerons ici avec la manipulation et les mensonges de l’ex-illustre revue Nature, hier encore la plus convoitée, s’ajoutant tristement aux Lancetgate et BMJgate déjà décrits dans ces colonnes.

 

Le scandale du Vioxx

Depuis 30 ans les conséquences du financement par l’industrie des revues médicales, même les plus réputées sont devenues de plus en plus évidentes avec l’acceptation trop complaisante d’articles « favorables » aux médicaments dits « molécules innovantes ».

Parallèlement, dénoncer les dangers d’un produit vedette devenait de plus en plus difficile, puis impossible, conduisant les auteurs honnêtes, bientôt qualifiés de lanceurs d’alerte par les uns, de complotistes par les autres, à se réfugier sur les réseaux sociaux pour publier leurs analyses[2].

 Au début des années 2000,[3] le scandale du Vioxx a finalement éclaté et révélé que certaines entreprises du médicament n’hésitaient pas à falsifier les données des essais et qu’un article aux données truquées pouvait CURIEUSEMENT être facilement accepté par une grande revue à comité de lecture[4].  Dans le cas de cet antiinflammatoire « prometteur » qui allait changer la vie des rhumatisants par sa soi-disant excellente tolérance, la supercherie n’était pas évidente et seule une enquête fouillée des Pinkerton[5] est parvenue à l’établir.  A l’époque, des articles truqués passaient, mais on peut encore croire que d’autres sérieux passaient encore.

14 ans plus tard, le Covid19 a révélé un degré de soumission inégalée des revues les plus prestigieuses aux géants de l’industrie pharmaceutique qui lui assure maintenant près de 80% de leurs ressources.

Pour critiquer l’usage de la chloroquine, les revues ont publié l’inacceptable

 

LancetGate

Le Lancet a accepté sans discussion un article[6] tellement mal forgé par la société Surgisphère[7] que ses incohérences ont été mises en évidence en moins de 48 heures[8] et que les protestations de plus de 200 médecins et/ou chercheurs a entraîné rapidement la rétractation de trois de ses quatre auteurs, puis imposé le retrait de l’article. Affaire connue depuis sous le nom de LancetGate[9]

 

NJEM Gate.

Un scénario similaire a été observé avec le New England Journal of Medicine lors de la publication des résultats de l’essai Boulware. Les données brutes n’étaient pas en accord avec les conclusions, sans que le comité de lecture « n’ait remarqué » le biais statistique permettant de cacher l’efficacité de la chloroquine administrée précocement, ni que certains auteurs avaient dissimulé leurs liens d’intérêts avec Gilead, promoteur du concurrent Remdesivir.[10]

 

L’Oxford Gate ou RecoveryGate

Une troisième affaire concerne l’université d’Oxford. Elle a publié le 6 juin un article, puis un communiqué de presse déclarant que l’essai Recovery[11] aurait montré l’inefficacité de l’hydroxychloroquine, alors que les doses du médicament dépassaient de 300% les doses proposées par le professeur Raoult et que les malades inclus dans l’essai étaient à un stade trop sévère pour pouvoir en bénéficier.  L’article omettait, en outre, de signaler que l’université d’Oxford espère mettre le premier vaccin anticovid sur le marché[12].

Grossières manipulations qui confirment la triste réputation de cette université autrefois renommée, toujours se méfier de ce qui vient d’Oxford…

Pour justifier le confinement aveugle, la revue Nature a été mise à contribution et a sombré dans le marigot des tricheurs

La revue Nature ne parait guère plus sélective que les revues précédentes. En mai et juillet 2020, Nature a accepté deux articles [13] [14] prétendant que les malades asymptomatiques étaient responsables de près de 80% des contaminations, qu’au début de l’épidémie le taux de croissance quotidien atteignait 39% (soit) un doublement des cas en 2,2 jours) et que seules des mesures extrêmes de distanciation sociale pourraient éviter une catastrophe sanitaire. Ces données, issues de modélisation mathématiques, ont servi d’hypothèses au rapport apocalyptique de Ferguson[15] prescrivant l’astreinte à domicile de populations entières, sans mise en quarantaine des contaminés (confinement aveugle).

Et en mai 2020, la revue a accepté un troisième article[16] vantant l’efficacité estimée du confinement et allant jusqu’à se glorifier d’avoir évité pas moins de 3 millions de morts en Europe ! Tant qu’à faire de manipuler, mentir et désinformer, pourquoi le faire à la marge, de toute façons les soumis n’y verront rien. Alors ils n’hésitent pas et on dirait que plus c’est gros, plus ça passe.

 

Décortiquons ces mensonges

La base du confinement aveugle généralisé, issue de ces affirmations fausses

Deux pays européens (Pays-Bas et Suède) ont mis en doute la validité de ces prédictions et ont refusé de confiner leur peuple ; l’analyse des débuts de l’épidémie dans ces deux pays permet donc de juger de la qualité des prédictions des 2 premiers articles de Nature sur la contamination par les asymptomatiques.

 

Les prédictions sur l’extension naturelle de la maladie étaient fausses

Au Pays-Bas, non confinés, l’extension initiale de l’épidémie a été exponentielle durant les 18 premiers jours, mais avec un temps de doublement du nombre de contaminations de 4 à 5 jours, soit deux fois plus long que les prédictions de Xingjie Hao, et le service de santé néerlandais n’a jamais été débordé, contrairement aux prévisions des articles publiés par Nature et du rapport apocalyptique de N. Ferguson[17].

 

 

En Suède, non confinée, la progression initiale de l’épidémie n’a pas été exponentielle, mais linéaire, totalement contraire aux prédictions des articles de Nature et du rapport 9 de Ferguson, et là aussi les hôpitaux, pourtant mis à mal par des politiques permanentes de restriction budgétaire depuis près de vingt ans, ont pu faire face aux besoins sans difficultés majeures.

 

 

Dans ces deux pays européens, l’évolution naturelle de l’épidémie n’a pas du tout suivi les prédictions des articles de Hsiang et de X Hao, malgré l’absence de confinement. La progression linéaire de l’épidémie en Suède non confinée questionne sérieusement le modèle mathématique exponentiel couramment admis dans toutes les simulations d’extension d’épidémie.

 Ces articles ont-ils été revu par les pairs ? Espérons que le comité de lecture de Nature saura se montrer suffisamment critique, afin que des corrections majeures soient apportées dans les commentaires et les conclusions actuelles qui ne correspondent pas du tout aux faits observés en Europe.

 

Les modélisations vantant l’impact du confinement aveugle étaient totalement fausses, au moins pour l’Europe d’après nos propres analyses

Les deux articles chinois de Nature prétendent que le confinement de toute la population ralentirait considérablement les contaminations et limiterait fortement l’ampleur de l’épidémie. Or l’analyse, avec recherche des points d’inversion de tendance (break point analysis) du développement des épidémies dans les pays européens qui ont confinés, ne montre aucun ralentissement attribuable au confinement et les comparaisons avec les pays qui n’ont pas confiné sont en faveur de ces derniers.

 

Evolution de l’épidémie en Espagne

En Espagne, le confinement aveugle a été imposé le 14 mars ; comme la durée d’incubation (délai entre la contamination et les premiers symptômes de la maladie) unanimement admis est de 4 à 8 jours, une diminution du nombre quotidien des contaminations aurait dû commencer à apparaitre vers le 20 mars. Or l’épidémie ne s’est pas ralentie avant le 3 avril, en même temps qu’elle refluait aussi dans de nombreux pays européens voisins non confinés (exemple des Pays-Bas présenté plus bas)

 

En Italie, le confinement aveugle a été instauré le 9 mars, mais le rythme des contaminations n’a pas été ralenti.

 

 

 

En France, le confinement policier aveugle a été imposé le 17 mars le lendemain de la présentation du rapport 9 de Ferguson à E. Macron. Les contaminations ont suivi une croissance exponentielle avec un temps de doublement de 5 à 6 jours sans aucun ralentissement attribuable au confinement. 

Evolution comparée Belgique-Pays-Bas

Lorsqu’on compare l’évolution de l’épidémie en Belgique et aux Pays-Bas, deux pays très proches par leur mode de vie et leurs systèmes sanitaires, le confinement belge paraît même avoir franchement accéléré les contaminations par rapport à l’évolution sans confinement hollandais.

Avant le confinement et pendant les 8 jours qui ont suivi, le rythme des contaminations était semblable dans les deux pays, puis il s’est franchement accéléré en Belgique confinée, alors qu’il restait stable aux Pays-Bas, non confinés.

 

Cette augmentation du rythme des contaminations par le confinement aveugle rappelle que la seule mesure préventive prouvée d’une épidémie à transmission inter humaine sans traitement connu est la séparation des malades des sujets sains le temps que les premiers ne soient plus contagieux, (la quarantaine).

Or les confinements aveugles imposés en Italie, en Espagne, en France et en Belgique prévoyaient le retour à domicile, dans leurs familles des infectés peu symptomatiques et des vieillards dans leurs établissements d’origine, favorisant la contamination de leurs proches.

Au 29 juillet 2020, alors que l’épidémie a quitté l’Europe, les 4 grands pays européens qui ont confiné à l’aveugle se retrouvent dans le top 6 mondial de la mortalité par million d’habitants avec un taux de 848/M en Belgique, 608/M en Espagne, 581/M en Italie et 483/M en France.

A l’opposé les pays asiatiques qui ont privilégié la quarantaine des infectés sans confiner leurs populations affichent des taux de mortalité insolemment bas :  6/M en Corée, 8/M au Japon, 5/M à Singapour et l’Allemagne qui a tenté de suivre leur exemple fait beaucoup fois mieux que nous (109/M) sans avoir astreint sa population à domicile.

 

Pourquoi tant de mensonges si grossiers de la revue Nature ?

Les conclusions des deux articles chinois de Nature, totalement inappropriées, au moins pour l’Europe et probablement pour les USA d’après nos correspondants[18], pourraient avoir été rédigées pour justifier a posteriori le bien-fondé des mesures autoritaires du gouvernement chinois et de ceux qui ont suivi le modèle autoritaire.

Les gouvernants, au moins en France sont très inquiets des retombées pénales possibles car comme a dit le président, Edouard Philippe soigne son avenir pénal. L’industrie pharmaceutique qui les a emmenés dans cette galère tente-t-elle de leur sauver la mise ?

L’article d’autosatisfaction de l’Imperial College présenté par Seth Flaxman[19] ressemble à ce que présentaient les savants en cours, glorifiant les résultats du Gross plan du temps de Staline.

En multipliant par dix ou vingt l’estimation des mortalités sans confinement, ils espèrent faire croire que le confinement aurait sauvé 80-90% des victimes virtuelles. Nous sommes toujours dans des calculs de probabilité reposant sur des hypothèses dans le cadre chaud d’un bureau universitaire hors sol et jamais dans la vraie vie IRL in real life des jeunes. Ne l’oublions jamais pour pouvoir comprendre comment on peut arriver à de telles aberrations, tellement dissonantes.

Hors sol et inattentifs !

Leur supercherie est évidente lorsqu’on consulte leur table 1 où ils donnent les prévisions pour la Suède au 4 mai 2020. Sans confinement, ils estiment que le pays devait compter 28000 morts, et comme à cette date on en comptait que 2800, ils affirment que le confinement a sauvé 26000 suédois.

Malheureusement pour leur démonstration, la Suède n’a jamais été confinée !

Le chiffre de 2800 morts au 4 mai correspond à la mortalité observée sans confinement telle que l’avait prévue Anders Tergel, solide épidémiologiste suédois qui n’a pas hésité à mettre en doute les prophéties de Ferguson. Les faits avérés démontrent qu’il avait raison, l’extrême surestimation des prédictions de l’équipe de l’Impérial College et l’extrême imprudence qui consiste à se fier à des prédictions pour déterminer une politique de santé. Quant à l’inattention des rédacteurs, elle parait énorme au vu des enjeux de leurs prophéties.

Mathématique, que de mal commet-on en ton nom, alors que tu n’es qu’un outil ! La publication anticipée de ces articles dans une revue jusqu’alors aussi prestigieuse que Nature a participé à la propagande mondiale de terreur et de promotion du confinement aveugle, responsable de la plus grande catastrophe médicale, sociale et économique depuis 50 ans dans les pays qui l’ont appliqué et à un moindre degré dans les pays voisins.

 

Non, le confinement ne sauve pas de vies, il en coûte pendant et après.

 La poursuite sur les ondes officielles de la manipulation consistant à vanter les mérites du confinement et la menace d’y revenir si les peuples ne sont pas « sages », ne se soumettent pas au confinement individuel que réalise le port du masque est tragique car elle met en cause la santé des populations, mais encore plus la démocratie en bafouant sans vergogne toutes nos libertés si chèrement acquises au cours des siècles. La récente interview du Pr Toussaint sur LCI est à écouter. Il redit avec force que l’épidémie est finie, et que toutes les mesures actuelles visant à lutter contre ce virus moribond n’ont pas de sens.

 

Sauver le code de Nuremberg et le serment d’Hippocrate

L’Association Médicale Mondiale tente d’entretenir depuis le procès de Nuremberg en 1947, les acquis du code de Nuremberg rédigé afin que les horreurs de la seconde guerre mondiale, ne se reproduisent pas.

 Elle proclame que les revues médicales ont le devoir éthique de vérifier le bien -fondé des articles qu’elles publient. Les comités de lecture seront-ils plus vigilants à l’avenir en privilégiant l’exposé des faits bruts aux conclusions de modélisations incertaines qui viennent de montrer leur pouvoir de nuisance extrême ?

La Médecine n’est pas une science exacte

L’exercice de la médecine doit revenir aux cliniciens qui savent qu’un malade n’est pas un objet inanimé sans âme, et qu’appliquer les techniques de la mathématique pure ou de la physique ne peut aboutir à de saines décisions.

En médecine, les politiques doivent tirer leurs informations de cliniciens et non d’anthropologues, de sociologues ou de mathématiciens, ni même seulement de biologistes.

L’exercice de la médecine est un art mâtiné de science, mais qui ne peut se réduite à des équations mathématiques, qu’il s’agisse d’un patient ou d’une population. Quand la science et la technologie envahissent le domaine médical et veulent le remplacer au lieu de lui servir de complément à la clinique, on assiste à toutes les catastrophes actuelles. Il faut en sortir et remettre chaque chose à sa place.

Comme nous l’avons déjà dit, après d’autres, peu de gens ont pu nuire si gravement à des milliards d’individus en si peu de temps.

 

 

[1] Avec une morbidité mondiale inférieure à celles des grandes grippes des dernières décennies et une mortalité inférieure à la grippe asiatique de 1957 (d’après l’OMS 1 à 4 millions de morts dans le monde dont 25000 à 100000 en France pour une population de 44 millions) et la grippe de Hong-Kong de 1969 (1 million de morts dans le monde dont 31000 en France sur une population de 50 millions)

[2] Agoravox N et G Delépine pourquoi publier sur le site d’agoravox ? 2019

[3] Voir « la face cachée des médicaments » N Delépine Ed Michalon 2011

[4] « Lapses at the New England Journal of Medicine » editorial JOURNAL OF THE ROYAL SOCIETY OF MEDICINE Volume 99 August 2006

[5] Célèbre agence de détective (fondée lors de la conquête de l’Ouest pour lutter les voleurs de diligence) qui a démontré lors d’un procès que Merck avait minoré le nombre d’accidents cardiaques des malades qui prenaient du Vioxx d’où une cascade de procès aux USA, jamais en France évidemment où tout va bien…

[6] Mandeep R Mehra, Sapan S Desai, Frank Ruschitzka, Amit N Patel Hydroxychloroquine or chloroquine with or without a macrolide for treatment of COVID-19: a multinational registry analysis Lancet May 2020 retracted

[7] Société qui se targue d’analyser des macrodonnées par intelligence artificielle mais dont les effectifs en personnels et les activités la font ressembler ressemblant beaucoup à une société écran.

[8] The Lancet Published a Fraudulent Study: Editor Calls it “Department of Error” June 2, 2020

[9] Voir article détaillé de France Soir à ce sujet

[10] Cf article de France Soir

[11]RECOVERY Collaborative Group* Effect of Hydroxychloroquine in Hospitalized Patients with COVID-19: Preliminary results from a multi-cent, randomized, controlled trial. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.07.15.20151852v1.full.pdf

[12] Le Figaro avec AFP Coronavirus : début des tests du vaccin d'Oxford au Brésil 24 juin 2020

[13] Hsiang, S. et al. The effect of large-scale anti-contagion policies on the COVID-19 pandemic. Nature https://doi. org/10.1038/s41586-020-2404-8 (2020).

[14] X Hao et al Reconstruction of the full transmission dynamics of COVID-19 in Wuhan Nature 16 July 2020 https://www.nature.com/articles/s41586-020-2554-8  

[15] N Ferguson: Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID-19 mortality and healthcare demand16 March 2020 Imperial College COVID-19 Response Team DOI: https://doi.org/10.25561/77482

[16] Flaxman, S. et al. Estimating the effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe. Nature https://doi.org/10.1038/s41586-020-2405-7 (2020)

[17] N. Ferguson. Report 9: Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID-19 mortality and healthcare demand 16 March 2020 Imperial College COVID-19 Response Team

[18] Cf travaux du journaliste Alex Berenson

[19] Ibid. 16

 

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