Si vous pouvez prouver que les directives thérapeutiques de l'OMS et du NIH sont justes, vous pourriez gagner 2 millions d'euros

Auteur(s)
Steve Kirsch, traduit par FranceSoir
Publié le 26 mai 2021 - 19:26
Mis à jour le 27 mai 2021 - 13:28
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Dollar NIH OMS
Crédits
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Mon billet sur l'OMS !
Pixabay / FS

Publication originale ici. Traduit par FranceSoir.
 

Cet article est le deuxième d'une série montrant que l'obéissance à des protocoles de traitement restrictifs s'appuyant sur la médecine fondée sur les preuves, en cas de pandémie, entraîne la perte inutile de centaines de milliers de vies.

Dans mon article précédent, j'ai montré que les directives de traitement actuelles du NIH et de l'OMS pour la fluvoxamine et l'ivermectine ne correspondent pas du tout aux preuves. Au contraire, un avis favorable pour ces deux médicaments correspond presque parfaitement à toutes les données. Dans cet article, je vais faire comprendre à tout le monde que leurs recommandations sont tellement indéfendables qu'aucune autorité respectée ne pourra se présenter pour les soutenir avec un argument crédible, même si je leur offre une incitation d'un million de dollars pour le faire.

Tout protocole médicamenteux utilisé pour le traitement précoce du COVID appartient à l'une des trois catégories suivantes :

    1. Utile
    2. Neutre
    3. ou Nuisible

J'affirme qu'il y a de nombreuses preuves sur la table depuis au moins 7 mois, et qu'elles sont toutes publiques. J'affirme aussi que la fluvoxamine et l'ivermectine, lorsqu'elles sont administrées tôt à une dose efficace, sont utiles parce que c'est cette hypothèse que les preuves confirment, et que les deux autres alternatives - neutre ou nuisible - ne correspondent pas du tout aux preuves.

Pour gagner le prix d'un million de dollars, il vous suffit de fournir un argument convaincant à nos juges, selon lequel les recommandations du NIH ou de l'OMS sur la fluvoxamine ou l'ivermectine (existantes le 21 mai 2021, date à laquelle je fais cette offre) sont plus susceptibles de correspondre aux preuves, c'est à dire que l'avis "défavorable" conviendrait mieux que l'avis "favorable". Ou, vous pouvez simplement montrer pourquoi les recommandations du NIH ou de l'OMS sont susceptibles de sauver plus de vies que les recommandations "favorables" à ces deux médicaments. Les deux méthodes de preuve sont acceptables.

Pour être éligible au prix, vous devez être l'un des principaux promoteurs du mythe :

    1. Un professeur d'une institution d'enseignement supérieur du monde entier
    2. Un médecin agréé, où que ce soit dans le monde
    3. Un rédacteur en chef d'une revue médicale évaluée par des pairs
    4. Un employé du NIH ou de l'OMS
    5. Un membre des grands médias du monde entier (en particulier au Brésil, où ils croient que tous les traitements précoces ne fonctionnent pas), y compris les journaux et les sites Internet,
    6. Un élu, où que ce soit dans le monde
    7. Tout responsable de la santé publique, où que ce soit dans le monde
    8. Tout employé de YouTube responsable de la politique ridicule interdisant les vidéos qui prétendent que l'Ivermectine est un traitement efficace contre le COVID-19.
    9. Tout employé de Facebook responsable de la censure du contenu et de l'interdiction des groupes liés à l'ivermectine ou à la fluvoxamine.

Votre contribution sera jugée par vote majoritaire grâce à un panel d'experts académiques impartiaux et hautement respectés, que je réunirai immédiatement si quelqu'un soumet une contribution. La première personne à soumettre une entrée gagnante remporte le prix, c'est-à-dire qu'il n'y aura pas plus d'un gagnant par médicament : un million de dollars pour l'ivermectine, un million de dollars pour la fluvoxamine.

Les contributions doivent prendre en compte les 23 études de traitement précoce de l'ivermectine et les deux études de la fluvoxamine.

Je ne m'inquiète pas pour les deux millions de dollars. Il s'agit d'une tâche impossible car toutes ces études, sauf une, sont positives. La seule étude négative avait une valeur p de 0,5 (ce qui ne correspond à aucune assurance et serait écarté de toute analyse sérieuse). Les preuves montrent également que plus tôt ces médicaments sont administrés à des doses adéquates, plus l'effet positif est important. Si les médicaments sont neutres ou nocifs, c'est impossible, un fait que nos experts de l'OMS et des NIH semblent avoir oublié.

Par exemple, si l'ivermectine est aussi nocive que le pense l'OMS, alors pourquoi les cas en Inde diminuent-ils de façon spectaculaire après avoir commencé à prendre de l'ivermectine ? Comment expliquent-ils cela ? Ils ne peuvent pas ; silence radio. C'est frustrant. Plus important encore, cela coûte des vies parce que les médecins de nombreuses régions du monde, y compris le Brésil et le Tamil Nadu, continuent de suivre aveuglément les conseils de l'OMS.

L'objectif de ce défi est double :

    1. Attirer l'attention du monde entier sur le fait qu'aucun des facilitateurs des NIH et de l'OMS ne sera en mesure de défendre leurs indéfendables recommandations pour ces médicaments.
    2. Montrer que les recommandations actuelles de ces deux organisations, pour ces deux médicaments, ont coûté la vie inutile à des centaines de milliers de personnes.

Si vous remplissez les conditions requises et souhaitez soumettre un article, veuillez m'envoyer un message sur TrialSiteNews ou un DM sur Twitter.

La raison pour laquelle ces recommandations absurdes existent est que le NIH et l'OMS ignorent catégoriquement toute preuve qui n'est pas un essai clinique de phase 3 de haute qualité, publié dans une revue à comité de lecture. Ainsi, selon eux, tous ces médicaments ne font rien et puisqu'il n'y a aucun bénéfice, il n'y a aucune raison de le recommander.

S'ils étaient intelligents, ils examineraient toutes les preuves disponibles et choisiraient l'hypothèse qui correspond le mieux à toutes les preuves observées, et ce pour chacun des médicaments. Parce qu'ils ne l'ont pas fait, nous en arrivons à la conclusion inéluctable qu'ils ne sont pas intelligents et que leurs recommandations pour ces médicaments doivent être ignorées. CQFD.

Par ailleurs, pourquoi les docteurs Anthony Fauci et Francis Collins gardent-ils le silence sur les recommandations du NIH ? Si un entrepreneur en informatique de la Silicon Valley a compris, depuis 7 mois déjà, qu'il est pratiquement impossible que ces deux médicaments ne fonctionnent pas, pourquoi les dirigeants des NIH ne le peuvent-ils pas ? Et pourquoi, lorsque David Seftel a confirmé le taux de réussite de 100 % de l'ERC original sur la fluvoxamine, publié dans le JAMA avec une étude en conditions réelles, présentant également un taux de réussite de 100 %, ont-ils ignoré cette information, comme si elle n'avait jamais existé ? Pourquoi n'ont-ils pas envoyé une équipe pour examiner s'il y avait des biais ou des facteurs de confusion ? Au lieu de cela, ils sont restés assis et n'ont rien fait lorsque la nouvelle est sortie. Il n'y a pas eu d'enquête. Il n'y a même pas eu d'appel téléphonique ou d'e-mail à l'enquêteur. Même après que 60 Minutes a fait un reportage sur ce miracle à l'hippodrome, ils n'ont toujours rien fait pour enquêter. Ils auraient pu sauver des centaines de milliers de vies s'ils avaient agi plus tôt, sur la base des preuves qui étaient "cachées" mais à la vue de tous, depuis au moins 7 mois.

Aussi, pour étayer mon affirmation selon laquelle ces preuves étaient publiques depuis plus de 7 mois, et qu'il était clair que les données soutenaient une action de la part de la communauté médicale, je propose un exemple simple que je connais bien : mes efforts personnels pour attirer l'attention du monde sur ces deux médicaments. Par exemple, le 17 octobre 2020, j'ai écrit sur la fluvoxamine et l'ivermectine dans un très long article sur Medium - une lecture de 23 minutes. Cet article a été suivi d'un courriel adressé à Elemental intitulé "Deux médicaments qui peuvent réduire considérablement le taux d'hospitalisation et de décès dus au COVID-19... peut-être jusqu'à zéro" et comprenant un lien vers mon article. Cependant, comme ces recommandations allaient à l'encontre de celles du NIH et de l'OMS, mon compte Medium a été suspendu à vie.

Enfin, s'ils se sont trompés sur l'ivermectine et la fluvoxamine, pensez-vous qu'ils se sont également trompés sur d'autres médicaments tels que l'hydroxychloroquine, la vitamine D, le zinc, ou d'autres traitements précoces ? Bien sûr qu'ils se sont trompés. Voir "Do the NIH and WHO COVID treatment recommendations need to be fixed ?" et "Good Science Saves Lives, Bad Science Has Ruined Lives" pour en avoir la preuve. Vous pouvez également lire cet excellent article de Wired intitulé "The 60-Year-Old Scientific Screwup That Helped Covid Kill", qui montre comment l'OMS ignore les avis d'experts qui ne sont pas d'accord avec son discours.

Plus vite ces recommandations seront modifiées, mieux ce sera. Les médicaments sont restés sur l'étagère pendant tout ce temps. Les données sont disponibles pour le public depuis plus de 6 mois. Ce qui nous manque, ce sont des dirigeants capables de voir les preuves soi-disant cachées, mais à la vue de tous.

 

Steve Kirsch est un "serial entrepreneur" dans le domaine de la haute technologie basé dans la Silicon Valley. Il est un philanthrope médical depuis plus de 20 ans. Lorsque la pandémie a commencé, il a quitté son emploi de jour chez M10 et a créé le COVID-19 Early Treatment Fund (CETF) (financement des traitement précoces du covid-19) , qui finance des chercheurs du monde entier menant des essais cliniques en ambulatoire sur des médicaments réatribués. Le CETF a financé les essais de David Boulware sur l'hydroxychloroquine et les essais de phase 2 et de phase 3 sur la fluvoxamine, parmi de nombreux autres projets de recherche. Il a récemment fait l'objet d'un reportage dans l'émission 60 Minutes, qui a mis en lumière ses travaux sur la fluvoxamine. Il n'a aucun conflit d'intérêts ; son objectif est d'aider à sauver des vies. En 2003, Hillary Clinton lui a décerné le National Caring Award. Il a écrit cet article pour partager une partie de ce qu'il a appris au cours de l'année écoulée sur l'échec de la médecine fondée sur des preuves lors d'une pandémie, dans l'espoir que les gens se rendent compte de leurs erreurs et changent d'avis.

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