Nadine Morano (UMP) : la résolution socialiste pour reconnaître l'Etat palestinien est "malvenue"
La résolution socialiste à l'Assemblée nationale pour reconnaître l'Etat palestinien
"Je pense que cette résolution, à ce moment, dans les circonstances actuelles, est malvenue".
"La Palestine, ceux qui la dirigent, ce sont le Hamas et le Fatah. Le Hamas est reconnu comme une organisation terroriste".
"Il faut une reconnaissance mutuelle (de l'Etat d'Israël et de l'Etat palestinien, NDLR), et pas une reconnaissance unilatérale de l'Etat palestinien (...) car Israël est menacé dans sa sécurité".
"Qui décapite les Occidentaux? Ce sont les djihadistes, les partenaires du Hamas".
"Dans les quartiers (en France, NDLR), quel message allons-nous envoyer? Je trouve ça choquant, je trouve ça honteux, cette initiative du Parti socialiste (...), j'espère que tous les députés UMP voteront contre".
Nicolas Sarkozy, les sifflets contre Alain Juppé et la campagne pour la présidence de l'UMP
"Si on ne veut pas qu'une salle siffle, alors il faut aussi interdire les salles qui applaudissent. (...) C'est normal, une salle qui est vivante, une salle qui siffle, une salle qui applaudit".
"La campagne (pour la présidence de l'UMP, NDLR) a été très digne, intéressante pour les militants. (...) Maintenant on entre dans la zone de tous les dangers, (...) on n'est pas à l'abri de défaillances techniques" dans le vote électronique des militants.
Ses rapports avec Nicolas Sarkozy
"J'ai parrainé Nicolas Sarkozy, j'ai ramené 1.200 parrainages, je voterai Nicolas Sarkozy".
"Il n'y a pas (autour de Nicolas Sarkozy, NDLR) une équipe prédéfinie. (...) Je ne fait pas de la politique pour Nicolas Sarkozy, je fais de la politique pour mon pays".
Nicolas Sarkozy est un homme "hors du commun", mais "s'il ne rassemble pas tout le monde (au sein de l'UMP), il n'a aucune chance de l'emporter en 2017".
La nécessité de changer l'UMP
"Il faut la changer pour qu'on puisse reconquérir le coeur des Français. Je peux vous dire qu'il y a du boulot".
L'article vous a plu ? Il a mobilisé notre rédaction qui ne vit que de vos dons.
L'information a un coût, d'autant plus que la concurrence des rédactions subventionnées impose un surcroît de rigueur et de professionnalisme.
Avec votre soutien, France-Soir continuera à proposer ses articles gratuitement car nous pensons que tout le monde doit avoir accès à une information libre et indépendante pour se forger sa propre opinion.
Vous êtes la condition sine qua non à notre existence, soutenez-nous pour que France-Soir demeure le média français qui fait s’exprimer les plus légitimes.
Si vous le pouvez, soutenez-nous mensuellement, à partir de seulement 1€. Votre impact en faveur d’une presse libre n’en sera que plus fort. Merci.