Quand Valérie Trieweiler s'estime "trop sexy" pour son "ex"
Décidemment, Valérie Trieweiler n'a pas fini de faire des vagues. Dans la nuit de dimanche 8 à lundi 9, l'ancienne Première dame a créé la surprise générale en postant sur Twitter une photo d'elle portant un tee-shirt où il est inscrit: "I am too sexy for my ex" ("Je suis trop sexy pour mon ex").
Evidement, des milliers d'internautes ont interprété cette photo comme un message subliminal à François Hollande, à qui elle semble en vouloir toujours beaucoup de sa trahison. Et les commentaires moqueurs de se déchaîner. "La haine, elle devrait franchement consulter après tout ce temps en être au même stade, c'est pas normal", écrit un internaute. "Oui la c'est carrément pathologique!!", lui répond un autre tandis qu'un troisième tweete: "Quand tu n'as toujours pas digéré ta dernière séparation, mais veux faire croire que si".
Même la dessinatrice Louison s'y est mise, publiant sur Twitter un dessin de François Hollande portant un tee-shirt où il est écrit: "I'm too old for this shit" ("Je suis trop vieux pour ces conneries"), accompagnant son cliché du message "La réponse du berger @fhollande à la bergère @valtrier . #trierweiler #tshirtgate #attentionwhore #larmefatale".
Face aux réactions en chaîne provoquées par sa photo, Valérie Trieweiler a tenu à se défendre. Non, sa photo n'avait rien à voir avec le chef de l'Etat, a-t-elle assuré ce lundi matin sur le réseau social. "Ha la la, pas d'affolement ni de mauvaise interprétation", a tweeté la journaliste dans la matinée, assurant que cette photo n'était qu'une plaisanterie "au cours d'un dîner de copines". Et d'accompagner son message du hasgtag "on rigole".
Il y a quelques semaines, l'ancienne compagne de François Hollande s'était déjà énervée sur Twitter contre les journalistes Renaud Dély et Henri Vernet, respectivement journalistes à L’Obs et au Parisien, en raison de leur ouvrage L'hyperviolence en politique, les frères ennemis (Ed. Calmann Levy) qui traite des rapports tumultueux entre les hommes et les femmes politiques. Car, dans un chapitre intitulé "Scènes de ménage à l’Elysée", les auteurs racontent ce qui se serait passé entre Valérie Trierweiler et François Hollande au moment de leur rupture. Le président de la République aurait fait venir sa compagne pour convenir avec elle des termes de leur séparation. Là, la scène aurait tourné au vinaigre, Valérie Trieweiler allant jusqu'à poursuivre le chef de l'Etat dans les couloirs, selon les deux journalistes qui écrivent qu'il "essayait de la raisonner" alors qu'"elle lui envoyait au visage tout ce qu'elle trouvait".
"Toujours pas fatigués d’écrire tant de bêtises à mon sujet ? (…) Quelle crédibilité accorder à des propos non sourcés, non vérifiés ou anonymes? C’est ça le journalisme? Allez, merci pour le buzz!", avait alors lancé la principale intéressée à la lecture de ces lignes tandis que le compte Twitter de l'Elysée assurait qu'il n'y "a jamais eu de violences ni d'agression en janvier 2014 à l'Elysée".
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