Mort après s'être injecté du silicone dans le pénis : victime d'un funeste jeu sexuel ?

Auteur(s)
La rédaction de France-Soir
Publié le 07 novembre 2018 - 17:05
Image
Jack Chapman, mort, Injections, Silicone, Pénis, Homosexuel
Crédits
©Jack Chapman/Facebook
Jack Chapman, avec une chaîne autour du cou, était le "chiot" soumis de son petit-ami.
©Jack Chapman/Facebook
La mort de Jack Chapman, jeune homosexuel adepte des injections de silicone dans le pénis, a mis en lumière cette pratique dangereuse. Selon sa mère, il était enrôlé dans un étrange culte sexuel dans lequel son petit-ami était le "maître" et lui l'un des esclaves.

La mort tragique pourrait en fait cacher une fin de vie tout aussi lugubre. Jack Chapman, plus connu sur les réseaux sociaux sous le nom de Tank Heathcliff Hafertepen, est décédé suite à des complications médicales le 15 octobre dernier à Seattle aux Etats-Unis.

Le jeune Australien était un habitué d'une technique controversée visant à agrandir la taille de son pénis. Il injectait ainsi régulièrement du silicone dans son sexe, tout en sachant que cette pratique était dangereuse pour sa santé.

Il est donc décédé après des complications liées au silicone mais aussi à des prises régulières de stéroïdes, visant à augmenter sa masse musculaire. 

A voir aussi: Il meurt après s'être injecté du silicone dans le pénis (photos)

Mais pourquoi le jeune homme de 28 ans s'infligeait-il de telles souffrances? Pour sa mère, il avait été enrôlé dans un groupe, limite sectaire, et il y avait perdu sa véritable identité.

Il était en couple avec un certain Dylan Hafertepen, lui aussi star des réseaux sociaux. Les deux amants avaient semble-t-il une relation très particulière et a priori non-exclusive. Selon Linda Chapman, ils étaient membres d'un groupe de jeunes hommes homosexuels tous accros aux stéroïdes et aux injections de silicone dans le pénis.

Dylan Hafertepen était selon elle le "maître" de la bande adepte de jeux sexuels. Interrogée par le Sun, la mère du défunt a d'ailleurs retrouvé un contrat liant les deux hommes. Son fils y était alors décrit comme l'un des "chiots" du maître Dylan Hafertepen à qui il devait obéissance.

"C’était de la dévotion, c’était comme une sorte de clan, de famille, de culte. Et pour prouver leur dévotion, il a fallu changer de corps", a expliqué la mère du jeune homme qui était aussi obligé de porter une énorme chaîne autour du cou pour démontrer son appartenance à son maître.

A lire aussi:

Trompée, elle tatoue son nom au dessus du pénis de son mari

Pourquoi la taille du pénis compte selon les scientifiques

Dépucelé à 45 ans grâce à son "énorme" pénis bionique (vidéo)

L'article vous a plu ? Il a mobilisé notre rédaction qui ne vit que de vos dons.
L'information a un coût, d'autant plus que la concurrence des rédactions subventionnées impose un surcroît de rigueur et de professionnalisme.

Avec votre soutien, France-Soir continuera à proposer ses articles gratuitement  car nous pensons que tout le monde doit avoir accès à une information libre et indépendante pour se forger sa propre opinion.

Vous êtes la condition sine qua non à notre existence, soutenez-nous pour que France-Soir demeure le média français qui fait s’exprimer les plus légitimes.

Si vous le pouvez, soutenez-nous mensuellement, à partir de seulement 1€. Votre impact en faveur d’une presse libre n’en sera que plus fort. Merci.

Je fais un don à France-Soir

Dessin de la semaine

Portrait craché

Image
bayrou
François Bayrou, baladin un jour, renaissant toujours
PORTRAIT CRACHE - François Bayrou, député, maire de Pau et plusieurs fois ministres, est surtout figure d’une opposition opportuniste. Éternel candidat malheureux à la...
20 avril 2024 - 10:45
Politique
Soutenez l'indépendance de FS

Faites un don

Nous n'avons pas pu confirmer votre inscription.
Votre inscription à la Newsletter hebdomadaire de France-Soir est confirmée.

La newsletter France-Soir

En vous inscrivant, vous autorisez France-Soir à vous contacter par e-mail.