Valérie Trierweiler aurait giflé un client d'un bar parisien, qui porte plainte

Valérie Trierweiler est accusée d'avoir donné une gifle à un client d’un bar du 15e arrondissement de Paris ce jeudi. L'homme a décidé de porter plainte. "Stop à la muflerie", a répondu sur Twitter l'ex-compagne de François Hollande.

Valérie Trierweiler aurait eu maille à partir avec un client d'un bar parisien situé dans le 15e arrondissement. D'après les premiers éléments de l'enquête, l'individu aurait fait une remarque déplacée à l'ancienne compagne de François Hollande. Selon les informations de la radio RTL, l'homme lui aurait demandé "des nouvelles de François Hollande" sur un ton sarcastique.

Le ton serait alors monté entre le client et la journaliste, qui lui aurait demandé de s'excuser pour ses propos. Celui-ci aurait refusé et c'est là que Valérie Trierweiler l'aurait giflé. En fin de matinée, l'homme est allé déposer plainte au commissariat pour "coups et blessures".

L'ex-Première dame a réagi à cet incident, ce jeudi en début de soirée, en postant sur son compte Twitter le court message "Un seul mot" suivi du hashtag "#stopàlamuflerie".

Ce n'est pas la première fois que l'auteur du livre Merci pour ce moment (Ed. Les Arènes), qui dévoile sa relation avec François Hollande, perd son sang-froid. En octobre dernier Valérie Trierweiler aurait insulté et bousculé Valérie de Senneville, l’ex-femme du ministre des Finances et des comptes publics, Michel Sapin, au Banana Café dans le 1er arrondissement de Paris, au cours d'une soirée organisée par l'homme politique et militant associatif Jean-Luc Romero.

Selon Le Canard Enchaînée, l'ex-Première dame aurait débarqué ce soir-là sur le coup de 22h30 "comme une furie vers ses ex-copines attablées dans un recoin de la salle du sous-sol. Valérie Trierweiler se précipite alors vers Valérie de Senneville et lui agrippe à plusieurs reprises le visage, lui griffe le bras avant de lui lancer: +je vais te détruire, toi et ton gros porc de Sapin+". D'autres invités de la fête seraient intervenus. La victime de l'agression aurait songé à porter plainte, avant de renoncer.