Fracture du pénis : certaines positions sexuelles plus dangereuses pour l'homme

Auteur(s)
AZ
Publié le 23 janvier 2015 - 21:24
Mis à jour le 24 janvier 2015 - 14:41
Image
Laetitia Casta dans "Une histoire d'amour" (2014) avec Benoît Poelvoorde.
Crédits
©Koch Media
Laetitia Casta dans "Une histoire d'amour" (2014) avec Benoît Poelvoorde.
©Koch Media
Selon une étude brésilienne, certaines positions sexuelles seraient plus dangereuses pour l'homme. La moitié des fractures du pénis surviendrait lorsque la femme est placée au dessus de son partenaire.

Les positions sexuelles les plus dangereuses ne sont pas nécessairement les plus acrobatiques: c'est en quelque sorte le résultat d'une étude brésilienne publiée dans la revue médicale Advances in urology. Basée sur des données recueillis pendant 13 années dans les services d'urgences de trois établissements hospitaliers de Campinas, une commune brésilienne de l'Etat de São Paulo, l'étude se penche sur les positions sexuelles les plus impliquées dans les fractures du pénis.

En tête du classement: l'andromaque. Cette pratique où la femme est placée au dessus de l'homme serait responsable de 50% des fractures du pénis. Vient ensuite la position de la levrette (29 %) et du missionnaire (21 %).

"Notre hypothèse est la suivante: lorsque la femme est au-dessus, elle contrôle le mouvement avec le poids de son corps qui repose entièrement sur le pénis en érection. Elle ne peut pas interrompre le mouvement quand le pénis pénètre d’une mauvaise manière car la douleur est habituellement faible chez la femme dans ce cas, tandis qu’elle est forte pour le pénis", ont expliqué les scientifiques.

Suite à une fracture du pénis, la moitié des personnes interrogées affirme avoir entendu un craquement, suivie d’une retombée de l’érection et d’une douleur intense.

Cette étude révèle également que deux tiers des blessures ont eu lieu au cours d’un rapport hétérosexuel, 14 % suite à un plaisir solitaire et 9,5 % lors d’ébats homosexuels. Toutefois, pas de panique à avoir. Les chercheurs ont rappelé que ce type de fracture est très rare. Néanmoins, en cas de doute, il est conseillé d'aller consulter le plus rapidement possible. En l'absence de traitement, la fracture du pénis, également appelée "faux pas du coït" peut engendrer à terme des problèmes d'érection et des troubles urinaires. 

 

L'article vous a plu ? Il a mobilisé notre rédaction qui ne vit que de vos dons.
L'information a un coût, d'autant plus que la concurrence des rédactions subventionnées impose un surcroît de rigueur et de professionnalisme.

Avec votre soutien, France-Soir continuera à proposer ses articles gratuitement  car nous pensons que tout le monde doit avoir accès à une information libre et indépendante pour se forger sa propre opinion.

Vous êtes la condition sine qua non à notre existence, soutenez-nous pour que France-Soir demeure le média français qui fait s’exprimer les plus légitimes.

Si vous le pouvez, soutenez-nous mensuellement, à partir de seulement 1€. Votre impact en faveur d’une presse libre n’en sera que plus fort. Merci.

Je fais un don à France-Soir

Dessin de la semaine

Portrait craché

Image
Castex
Jean Castex, espèce de “couteau suisse” déconfiné, dont l'accent a pu prêter à la bonhomie
PORTRAIT CRACHE - Longtemps dans l’ombre, à l’Elysée et à Matignon, Jean Castex est apparu comme tout droit venu de son Gers natal, à la façon d’un diable sorti de sa ...
13 avril 2024 - 15:36
Politique
Soutenez l'indépendance de FS

Faites un don

Nous n'avons pas pu confirmer votre inscription.
Votre inscription à la Newsletter hebdomadaire de France-Soir est confirmée.

La newsletter France-Soir

En vous inscrivant, vous autorisez France-Soir à vous contacter par e-mail.