Ce sont tous des malades !
EDITO - Ne vous y trompez pas. Elle a beau être constituée des mêmes mots, cette formule, en titre, n'est pas la reprise de celle que bon nombre de Français utilisent à l'endroit des membres de l'exécutif, pour fustiger ce qu'ils pensent être la pathologie mentale dont le président de la République et ses ministres souffrent. Cette formule est lancée chaque fois qu'ils apprennent avec effarement les nouvelles mesures délirantes prises la plupart du temps par ces messieurs et dames qui nous gouvernent.
Les personnes dont je veux faire état via cette formule, ce sont les citoyens, français ou étrangers, qui sont ou ont été porteurs du virus du sida, ou qui ont refusé l'injection expérimentale à laquelle les autorités sanitaires ont accordé l'appellation de “vaccin” contre le virus du Covid.
Dès lors, n'en déplaise à Charles Gave, me reprochant de revenir “un peu trop” souvent sur le sujet du Covid et du “vaccin”, mais j'aimerais savoir quelle raison pertinente auraient à m'opposer ceux qui, le 1er juillet dernier, ont donné pour thème au 42e anniversaire de la découverte du virus du sida par le professeur Montagnier, la lutte contre les discriminations dont sont victimes les citoyens porteurs du virus du sida. Alors que parmi ces personnes, figurent nombre de personnalités et anonymes, soignants ou non, experts, journalistes, influenceurs et politiciens qui se sont réjouis des discriminations dont ont été victimes les citoyens qui ont refusé l'injection expérimentale dénommée “vaccin” contre le virus du Covid.
Quelle raison à cela ? Donnez-m'en n’en serait-ce qu'une !
En effet, c'est bel et bien “comme des pestiférés” que les citoyens qui ont refusé cette injection (en cela comparables aux premières victimes du virus du sida) – parfois létale – ont été traités, eux non pas uniquement à l'embauche, pour un logement, etc., mais par tout l'appareil d'État, les médias et tous les belliqueux bonimenteurs qui y sévissent. Les plus virulents ont même demandé à ce que ces citoyens soient traités comme des criminels, des assassins, des terroristes. Le président de la République s'est d’ailleurs vanté « d'avoir très envie d'emmerder les non-vaccinés » ! Et un porte-parole du gouvernement, devenu ministre de l'Education nationale, s'est régalé à relayer ce propos et enfoncer le clou...
Je ne vois pas que des porteurs du virus du sida aient été interdits d'accès au restaurant, au bar, au ski, à la patinoire, au cinéma, au théâtre... ni suspendus de leurs fonctions... ni de soins. Alors qu’à l'inverse, les personnes non-vaccinées ont bel et bien été victimes de ces discriminations. Cela de manière autant inconstitutionnelle qu’injustifiée. Et ceci, qui plus est, délibérément. Délibérément injustifiée, oui, parce que, Jean-François Delfraissy, “conseilleur” en chef du gouvernement en a fait l'aveu public : c'est en pleine et entière connaissance du fait que le “vaccin” s'avérait totalement inefficace pour lutter contre la contamination, que le gouvernement a pris la décision d'infliger ces discriminations odieuses aux personnes non-vaccinées.
En outre, il en résulte que, concernant le virus du Covid, les personnes non vaccinées ne présentent guère de risque pour autrui (personnes vaccinées ou pas) alors qu’à l'inverse, les personnes porteuses du virus du sida représentent un danger bien plus mortel pour toute personne avec laquelle elles ont un rapport sexuel non protégé.
Et c'est d'ailleurs pour cela qu’une personne qui se sait porteuse du virus du sida commet un crime d’empoisonnement en ayant un rapport sexuel non protégé.
À l'inverse, le “Docteur” (?) Michel Cymes l'a dit (et c'est forcément parole d’évangile !), le virus du Covid n'est pas sexuellement transmissible. Ouf !
Un baiser langoureux, en revanche, le transmet presque immanquablement (toujours d'après l'ex-fiancé télévisé d'Adriana Karembeu).
Donc je ne serai pas mauvaise langue (!), pas plus que je ne ferai dans la division pour mieux régner” mais je terminerai cet édito par un peu d'humour.
Woody Allen a dit un jour avec son humour caractéristique (bien trempé lui aussi) : “La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible.”
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