Italie : le premier Prix Luc Montagnier décerné à cinq personnalités pour “leur indépendance” pendant la crise du Covid-19
REPORTAGE - Samedi dernier, la première édition du Prix Luc(e) Montagnier s’est tenue au Palazzo delle Stelline à Milan, en Italie. Cinq personnes ont été récompensées pour “leur indépendance” durant la crise du Covid-19, “une période dominée par un récit à sens unique”. Il s’agit de deux médecins, Mariano Bizzarri et Giovanni Frajese, du journaliste Maurizio Belpietro, d’un représentant de travailleurs du port de Trieste, Stefano Puzzer et d’un avocat, Andrea Perillo.
Remis par le sénateur Gianluigi Paragone, le Prix Luc(e) Montagnier se voulait aussi une “commémoration de la mémoire du prix Nobel français” et un hommage à “ses combats menés au nom de la liberté et d’une information correcte”. “La dernière fois qu’il a été en Italie, beaucoup de personnes sont venues l’écouter expliquer les problèmes du vaccin ARNm et de ses effets secondaires”, témoigne M. Paragone dans ce reportage de FranceSoir, présent à la cérémonie : “Le prix s’appelle Luc Montagnier mais il y a un E à ‘Luc(e)’, qui en italien signifie la lumière. C’est un honneur”.
Pour ce sénateur, la première édition de ce prix récompense “une bataille juridique, politique et journalistique pour découvrir la vérité sur les effets secondaires des vaccins et pour défendre les droits civiques des citoyens (...) C’est aussi une bataille contre Big Pharma qui a signé des contrats avec l’UE pour des millions d’euros afin de distribuer des vaccins dont Montagnier relevait le problème”.
Gianluigi Paragone a également rendu hommage aux personnalités récompensées et “les batailles” menées pour “la transparence sur le vaccin" et contre le “passe sanitaire et l’obligation vaccinale et pour la protection des personnes qui ne se sont pas assujetties au vaccin”.
Mariano Bizzarri a, lui, qualifié cette récompense de “grand honneur”, puisque Luc Montagnier “n’est pas seulement un chercheur mais un prix Nobel. (...) Il était important non seulement pour ce qu’il a fait sur le sida, mais aussi pour les nouvelles voies qu'il a tracées pour la recherche scientifique”. Le médecin a donc tenu à rendre hommage à un “vrai pionnier : il a démontré qu’il y avait quelque chose de louche, de compliqué à propos du covid et c'est sur son exemple qu'on a continué."
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