Facebook propose des alternatives au bouton "j'aime"

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La rédaction de FranceSoir.fr
Publié le 24 février 2016 - 17:08
Mis à jour le 25 février 2016 - 18:15
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Nouveau émoticône facebook
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Facebook a lancé ce mercredi de nouveaux boutons de réaction pour accompagner le traditionnel "j'aime".
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Facebook a lancé ce mercredi de nouveaux boutons de réaction pour accompagner le traditionnel "j'aime". Elles expriment la tristesse, l'affection, l'étonnement, l'hilarité et la colère.

Le géant américain des réseaux sociaux Facebook envisageait depuis longtemps de créer une alternative au bouton "j'aime", c'est désormais chose faite ce mercredi 24 février. Alors pas encore de bouton "j'aime pas" tant réclamé par les utilisateurs mais une série d'émoticône exprimant diverses émotions.

Le nouveau système baptisé "Réactions" est "une extension du bouton Like, pour vous donner plus de moyens de partager vos réactions face à une publication, et ce, d'une manière rapide et facile" explique l'équipe en charge du réseau social. Pour voir ces icônes, il suffit de laisser votre souris ou votre doigt assez longtemps sur le bouton "j’aime". Le panneau se dévoile alors, vous permettant de choisir l’icône qui colle le plus à votre ressenti.  Les utilisateurs de la plateforme pourront maintenant exprimer leur enthousiasme par un "J’adore", leur admiration ou de la surprise par avec un "Wouah" ou de la colère avec un "Grrr". Enfin, on peut désormais montrer son amusement avec un "Haha" et sa tristesse avec un emoji triste.

"Si vous partagez quelque chose de triste, comme sur la crise des réfugiés qui vous touche, ou si un membre de votre famille est mort, cela peut n’être pas facile d’+aimer+ ce post. Je pense qu’il est important de donner aux gens plus d’options que de simplement l’aimer" , expliquait en septembre dernier Marc Zuckerberg

Facebook affirme dans son communiqué que les études effectuées dans les pays tests ont montré des retours très positifs.  Les "Réactions" ont au moins le mérite d’augmenter le registre des émotions transmises par le célèbre bouton, qui était jusque-là assez limité.
 

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