« Au nom de la vérité, si je mens » ou « le mensonge dans la peau »

Auteur(s)
Xavier Azalbert, France-Soir
Publié le 20 septembre 2024 - 09:00
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Au non de la vérité si je mens - la seule chose qui s'allonge plus vite que leur nez est la dette publique image parodique
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France-Soir, Pixabay
« Au nom/non de la vérité, si je mens » ou « le mensonge dans la peau » - image parodique
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EDITO ANALYSE - Un précédent édito concluait sur l’observation que « plus on monte haut dans la hiérarchie politico-médiatique, plus le cours du mensonge a un prix élevé, tellement il est usité en toutes circonstances. À leur niveau, ce n'est pas le silence qui est d'or, mais le mensonge qui vaut de l'or.  L'or de leur rente de situation. Alors, vous comprendrez que c’est tout à fait normal qu’ils tentent de nous faire croire que « le faux est vrai » et vice versa. » Y était aussi ajoutée leur approche de l’info-fiction sous la forme « de l’inversion accusatoire habituelle que les politiciens arrivent à vous faire croire qu’ils ne sont pas responsables de tous les maux dont souffre la population, mais que les électeurs, eux, y seraient pour quelque chose. »

Depuis le début (à savoir depuis sa première intervention publique en tant que candidat LREM à l'élection présidentielle 2017, et aujourd'hui, comme président de la République), Emmanuel Macron nous a-t-il fait sien l’usage de l’info-fiction ? Emmanuel Macron et tous ses serviteurs (ministres, parlementaires et autres intervenants politiques qui s’en sont fait l'écho) auraient-ils fait monter le cours du mensonge « quoiqu’il en coûte » au-delà de celui de la vérité ?


Mais, il y a pire ! Deux fois pire. Tout d'abord, les autres politiciens majeurs (parlementaires, leaders et porte-parole des partis ayant accès aux médias subventionnés) ont fait exactement pareil. Pardi ! Tous participent à cette pièce de théâtre, conformément au rôle qui a été attribué à chacun, non par le résultat des urnes, mais pour gérer leur rente de situation et maintenir le cours de la désinformation et du mensonge à son niveau le plus haut. Cette farce macabre pour la démocratie, et funeste pour les intérêts de la France et des Français, dont le rôle principal, président de la République, a été confié jusqu'en 2027, Emmanuel Macron. Seul compte pour « les Zélus » que la part du gâteau qu'on leur a promise en échange de leur collaboration, leur soit dûment servie.

Barnier

Et, ensuite ; et c'est très certainement cela le plus préjudiciable ; les médias subventionnés relaient les propos des politiciens... alors qu'ils les savent mensongers. Ils contribuent ainsi à la pollution informationnelle tel qu’ils l’ont montré avec leur couverture médiatique fallacieuse de la fraude scientifique Pradelle Lega. Ils confirment par-là, et à l'unisson, que ce que Coluche disait de leurs homologues, il y a 45 ans, dans le sketch « Les journalistes » (extrait du spectacle « Les Interdits de Coluche » sorti en 1979), est hélas encore plus d'actualité sous l'ère Macron :

« Les journalistes ne croient pas les mensonges des hommes politiques,
mais ils les répètent ! C'est pire ! »

D'abord, ils les répètent, en boucle, haut et fort, comme s'il s'agissait d'éléments d'informations chiffrés et factuels, vérifiés et confirmés, à l'authenticité technique et scientifique démontrée, donc incontestable. Et ils sont aidés en cela par des cautions scientifiques (aux liens d’intérêts obscurs) et autoproclamés « experts », qui n'y connaissent rien du tout (1) et par des titulaires véritables d'un diplôme d'État dans la matière concernée, qui eux font de même en s’asseyant sur leurs règles déontologiques. Médecins, professeurs et Cie, ces professionnels authentiques répètent ces éléments de langage sans les vérifier, préparés pour l’occasion, qu'ils savent pourtant contraires à la réalité scientifique ou qui va contribuer à violer les droits fondamentaux (par exemple, le consentement libre et éclairé en matière médicale).Ils ajoutent à ceci, un développement technique, niveau CE1, et généralement commun à tous. Pourquoi ? Parce que, ça, c'est sociologiquement prouvé, malheureusement, quand on s'adresse aux gens en les infantilisant (à savoir en leur parlant comme à des enfants de 7 ou 8 ans), il suffit de répéter les choses beaucoup de fois pour que les gens y croient. Cela fonctionne sur les politiques aidés par des incitations détournées ou la gestion de leur rente de situation est dans la balance, ainsi que sur l'immense majorité des gens qui constituent la masse, en particulier ceux qui votent. C'est ainsi. Et pour que ce travestissement étatique de la vérité puisse s'opérer le plus longtemps possible, les pouvoirs publics censurent et répriment très sévèrement par le truchement d’autorités « proclamées indépendantes », toutes les personnes qui diffusent des informations contraires à la version officielle.

Oui. C'est la vision macronienne de « la liberté d'expression » qu'Emmanuel 1ᵉʳ, « roi des prestidigitateurs de la vérité »,  affirme être un principe fondamental de « notre » démocratie. Il avait d’ailleurs été convié au Défi de la Vérité, invitation à laquelle il se soustrait jusqu’à ce jour, afin de permettre à son gouvernement d’expliquer les vrais mensonges et fausses vérités qui sont établis comme nouveau standard de la communication étatique. Au même titre, rappelons que les assertions scientifiques prononcées par le président, lors de sa décision de rendre la vaccination obligatoire pour certains en juillet 2021, avaient été démontrées inexactes par le Dr McCullough.

En macronie, on peut traduire cela par : liberté totale de travestir la vérité éhontément pour ceux qui sont au pouvoir, et répression à outrance pour ceux qui contestent la version officielle. Cette répression intervient par une censure illégale, parce qu'opérée sur la base d'articles de loi dont le domaine (le sujet) et le champ d'application (personnes et faits concernés) sont artificiellement détournés ou étendus, à charge ensuite pour « la justice », de donner à cette base tronquée une justification de fait. Comment ? Par une décision rigoureusement contraire aux articles de loi en question, mais qui « fera jurisprudence. » C'est-à-dire qu'en lieu et place d'appliquer la loi votée par le Parlement (pouvoir législatif), les tribunaux (pouvoir judiciaire) agissant là sur réquisitions du parquet (pouvoir exécutif), se conformeront à cette décision qui est contraire à la loi. Et que font les parlementaires ? En lieu et place, eux, de s'insurger contre cette violation manifeste du principe constitutionnel de la séparation des pouvoirs opérée par les magistrats, doublée du délit de mise en échec de l'exécution de la loi par personne dépositaire de l'autorité publique agissant dans l'exercice de ses fonctions (articles 432-1 et 432-2 du Code pénal), les parlementaires corroborent cette infamie. Ils déclarent qu'ils ne peuvent pas aller à l'encontre d'une décision de justice. Et comme justification à ça, qu'invoquent-ils ? Comble de la trahison du peuple dont ils sont censés être les représentants, ils invoquent le principe constitutionnel de la séparation des pouvoirs.

Enfin, lorsque, malgré cette censure et cette répression, la fausseté manifeste de la vérité officielle finit par arriver aux oreilles des esprits éveillés, notamment grâce aux réseaux sociaux, d'une part, les professionnels qui rétablissent ainsi la vérité sont invisibilisés et interdits d'accès par les médias de propagande, ceci afin que, d'autre part, les politiciens et consorts puissent continuer à mentir éhontément sur ces sujets, sans contradicteur.

Aurélien Rousseau, alors ministre de la Santé, est passé grand maître en la matière. Malgré les plus de deux cents mille cas recensés officiellement en France (dont 25 % de graves), de pathologies liées aux « vaccins » anti-covid, et des millions de cas à travers le monde, il a affirmé tout de go, en direct à la radio et à une heure de grande écoute, que ces injections thérapeutiques expérimentales n'ont aucun effet secondaire. Léa Salamé, assistante magicienne dans la disparition des effets, ne l’a pas repris. Le CDJM considère que France Inter aurait dû corriger cette information. Cela n’ayant pas été fait, la pollution de l’information perdure. Aucun organisme ne contrôle ou ne vérifie si ces rectifications ont été effectuées.

Toutefois, dans ce domaine précis du travestissement de la vérité, la palme revient, incontestablement, à Emmanuel Macron, à Bruno Le Maire et à Olivier Véran. Ce dernier, ancien ministre de la Santé puis porte-parole du gouvernement, n’a-t-il pas manqué de relever le défi, en consacrant le mensonge durant la crise covid ? Des comptes sur sa désinformation covidienne lui sont d'ores et déjà demandés notamment en termes de perte de chance et du nombre de vies que l'on aurait pu sauver avec les traitements précoces. Pour Le Maire, cette vidéo vous fera tous sourire

Et, les politiciens ayant accepté de collaborer, en échange de leur pitance, leur part du gâteau, Emmanuel Macron peut en faire ce qu'il veut. En tout cas, tant que lui-même a l'agrément des huiles qui lui ont attribué le rôle de chef d'orchestre. Cela semble devoir perdurer jusqu'à la fin du mandat présidentiel en cours. Certains seraient déjà (et préventivement) sous anti-dépresseurs, dans l'angoisse incessante que sorte dans la presse, « le » dossier les concernant. Celui grâce auquel, le pouvoir les tient par les..., par ce qu'ils n'ont pas, en fait. Et si, à défaut d'attributs mâles, ils avaient une conscience, ces hommes et ses femmes politiques seraient au bord de la dépression. J'entends par là, tellement ils auraient honte de ce qu'ils ont fait. Quant à ceux qui voudraient véritablement s'extirper de cette entente collusoire tout en restant dans la politique, à savoir pour tenter d'inverser les choses de l'intérieur, remettre en avant l'intérêt collectif, ils ne savent plus à quel Saint se vouer.

Et pour cause ! Il n'en existe plus aucun, des Saints. Ni aucun qui soit sain.

 

Un mensonge en appelle un autre, menant au maquillage des comptes publics et à l'insincérité des scrutins

L’escalade d’engagement du travestissement est sans fin, puisque qu’un mensonge en appelle un autre. Par un accaparement tronqué d'éléments de langage frauduleusement détournés de leur sens original (une info-fiction ou récit réécrit pour l’occasion), ils revendiquent, avec une énième inversion de la réalité, dans leurs interventions publiques, un sens du devoir, de l’équité et du respect du principe et de la devise de la République (« Gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple », et « Liberté, égalité, Fraternité. »). Ils disent aux Français ce qu'ils ont envie d’entendre. Ils les brossent dans le sens du poil. Condescendants. Ces artifices sémantiques, il faut les interpréter avec la novlangue macronienne, où les vrais mensonges côtoient les fausses vérités. Et les journalistes mainstream, donc, participent hautement à cette perte de confiance des électeurs, envers les politiques. C'est bien compréhensible, logique, ô combien légitime, même, carrément. Les journalistes mainstream ne respectent pas le devoir numéro 1 de la Charte de Munich, celui qui impose aux journalistes de « Dire la vérité quoiqu’il en coûte en raison du droit qu’ont les gens à connaître la vérité ». Aucun d'eux ne dit la vérité sur bien des sujets, notamment les plus importants, et tous agissent ainsi pour protéger leur rente, leur poste. S’ils l'avaient dite, la vérité, les résultats des élections européennes et législatives auraient été très différents. Nettement plus en défaveur du camp présidentiel. La règle en vigueur est ceci : les avantages aux élus, sans risque judiciaire, et les conséquences de leurs actes pour le peuple. Payer l'addition.

Dans l’environnement, il y a la loi « du pollueur payeur. » Appliquons-la aux politiciens, et montrons du doigt les pollueurs de l’info, des décisions publiques. Ce sont eux, et non pas le peuple français, qui doivent réparer les dégâts causés à la France et au peuple français, par leurs mensonges, manipulations et manquements répétés.

Idem pour les professeurs qui manquent à leurs obligations déontologiques, comme messieurs Molimard et Lega, qui ont contribué à la désinformation avec force pollution informationnelle afin de décrédibiliser les traitements précoces en fabricant des morts de l’hydroxychloroquine par le truchement d’une modélisation mathématique trompeuse. Vu des États-Unis, les « 17 000 décès liés à l’hydroxychloroquine » annoncés ne se sont jamais produits ! 

Toutes ces personnes qui manipulent le cours de l’info, doivent être tenues pour responsables. D’autant plus quand ce délit d’initiés leur permet d’influencer les élections. Jamais dans le sens des intérêts des électeurs. Toujours uniquement dans le sens de l'oligarchie qui ainsi peut continuer d'accaparer tous les pouvoirs à son profit, de manière illégitime et injustifiée. Imaginez un instant, quels auraient été les résultats des scrutins européens et législatifs de 2024, si les Français avaient eu l’information sur la dérive des comptes publics. J'insiste : très certainement qu'ils auraient été nettement plus en défaveur du camp présidentiel. Alors que les parlementaires s’essaient d’évaluer le décalage des comptes publics qui nous mènent droit à une mise sous tutelle de l’Union européenne, telle la Grèce en 2010, une estimation du dévoiement électoral est en cours.

L’information sur la dérive des comptes publics et leur maquillage n’est un secret pour personne dans les sphères informées à Paris. Subsiste alors le quantum, que même les rapporteurs de la Commission des Finances ont du mal à estimer puisque le gouvernement leur refuse l’accès à des informations qui leur sont constitutionnellement dues (Budget, lettres plafond des dépenses des ministères). Une source, proche de la Cour des comptes et de la Caisse des dépôts, m’indiquait que « la fourchette de l'estimation de la dérive des comptes publics serait comprise entre 6.8 % à 8,0 % en fonction des scénarios et de la manière dont on comptabilise certaines dépenses, notamment sur la contribution à l'Ukraine. » Chiffres potentiellement plus élevés que les 7 % annoncés hier par Charles Gave. Si tel est le cas, la « chypriotisation » des dépôts des Français pourrait être mise en marche.   

À la vue de l'image parodique de cet édito, un lecteur me fit observer : « la seule chose qui s'allonge plus vite que leur nez, est la dette » !  

Ainsi, arrive Michel Barnier

Ainsi, après sept ans de cette mystification, on arrive à la nomination de Michel Barnier au poste de Premier Ministre. À savoir, pour conduire la majorité requise à l'Assemblée nationale, pour pouvoir gouverner, un homme issu d'un parti politique, Les Républicains, qui a obtenu seulement 10 % des voix et seulement 45 députés lors des élections législatives. Malgré cela, il va pouvoir continuer à mener la politique que les précédents Premiers ministres d'Emmanuel Macron ont menée depuis 7 ans. Pourquoi ? Parce que, d'une part, les partis politiques qui font officiellement partie de la macronie, vont s'associer à lui, et, d'autre part, les partis politiques soi-disant d'opposition... ne vont pas s'y opposer.

Et histoire de bien nous montrer que, tous autant qu'ils sont, les politiciens de haut rang se fichent ouvertement du peuple français, on a eu droit à ceci, ce week-end, pendant que le Front National réuni en congrès à Paris, préparait, à huis clos, sa stratégie prétendument de résistance à Macron. Dominique de Villepin, invité vedette de la Fête de l'Huma. Le congrès annuel, public, lui, du parti communiste français, et qui s'était transformé pour l'occasion en tribune de l'opposition de gauche : le Nouveau Front populaire (NFP).

Évidemment, l'ex-Premier ministre de droite a dit aux électeurs de gauche, ce qu'ils voulaient entendre. À savoir que « normalement », Emmanuel Macron aurait dû nommer Premier Ministre, « le » postulant déclaré qui s'imposait au regard du résultat des urnes, c'est-à-dire celui du NFP : Lucie Castets. Un triomphe pour celui qui, en 1997, a convaincu Jacques Chirac de dissoudre l'Assemblée nationale, au profit des partis « de gauche » qui constituent aujourd'hui le NFP et le PS.

Néanmoins, un politicien actuel fait exception à la règle qui veut donc qu'ils nous déclarent l’inverse de ce que sont réellement leurs intentions et convictions. C'est Michel Barnier, justement, le Premier Ministre qu'Emmanuel Macron vient de nommer. Lui, il est franc. Il est cash. Il l'a dit en direct à la télévision : il n'est pas là pour servir les intérêts de la France, mais ceux de l'Europe. Il a prêté serment de le faire, et il le fera.

Michel Barnier

Et c'est précisément pour cela, que c'est lui qu'Emmanuel Macron a nommé à Matignon.

Diable !

Emmanuel Macron n'est pas seulement un européiste radicalisé, n’est-il pas aussi un « MK-ultra » ? Un enfant fanatique de cette Europe fédérale, technocrate bruxelloise, qui, sous couvert de la défense de l’intérêt général de l'Europe, est destructrice des Nations et de la souveraineté des peuples. Cette Europe est née du Traité de Lisbonne.

Et qui est le rédacteur du texte du Traité de Lisbonne ?

Michel Barnier, l'homme de 73 ans qu'Emmanuel Macron a nommé Premier Ministre.

Oui. On savait déjà, qu'avec pour épouse une femme qui a le double de son âge, Emmanuel Macron était marié avec une personne qui pourrait être sa mère. Voilà qu'en sus, désormais, le président de la République est en couple cohabitant avec une personne en âge d'être son père.

Mensonges

 

« La démocratie porte en elle le germe de sa propre destruction » - Augusto Pinochet Octobre 1973

(1) l'exemple type : Martin Blachier, qui durant la crise covid, était présenté en tant que « docteur » qu'il est, certes, puisque titulaire d'un « doctorat », mais qui n'a pas exercé en médecin, ou encore Dr Marty qui a un avis sur tout et qui est capable de sortir des énormités ou retourner sa veste, dernièrement il se voyait même dans un rôle de secretaire d’état avec Mathias Wargon !

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