Des tests pour nous éclairer … ou nous aveugler

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Docteur Eric Menat pour FranceSoir
Publié le 04 août 2020 - 14:18
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Eric menat
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Eric Menat
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TRIBUNE : Dieu sait que j’ai été un fervent défenseur des tests pour dépister le COVID et que j’ai été très contrarié de ne pas disposer de tels tests au début de l’épidémie.

À l’époque, l’exemple d’autres pays comme la Corée du Sud, mais aussi l’Allemagne me rendaient jaloux. Ils étaient de façon évidente le bon exemple pour contenir l’épidémie et limiter le nombre de morts : tester un maximum de personnes et confiner toutes les personnes positives.

C’est aussi ce qu’a fait le Pr Raoult et toute son équipe de l’IHU de Marseille en rajoutant une composante importante : il a donné son protocole thérapeutique à tous les malades ce qui va améliorer ses résultats.

 

Et les chiffres sont là pour nous le montrer :

- En France : 225 000 cas positifs et 30200 morts soit 13 % de mortalité parmi les personnes testées

- En Allemagne : 210 000 cas et 9100 morts soit 4.3% de mortalité

- En Corée du Sud : 14300 cas et 300 morts soit 2% de mortalité

- Chez le Pr Raoult : 3567 malades positifs et traités par son protocole et 18 morts soit 0.5% de mortalité

Ce ne sont que des chiffres bruts et leur interprétation peut être variable, mais ils montrent que les pays qui ont testé et confiné de façon ciblée ont limité la contagion et la mortalité. Dans tous les cas, cela devrait nous amener à nous poser des questions sur la façon dont la France a géré cette épidémie, mais aussi son système de santé depuis des années.

Car notre pays est « handicapé » de la biologie. Je l’ai constaté depuis déjà bien longtemps dans le domaine de la maladie de Lyme ou nos experts (ce sont les mêmes infectiologues que pour les COVID) rejettent totalement les bilans biologiques allemands et ne reconnaissent pas la plupart des maladies de Lyme chroniques. Mais c’est une autre histoire !

Donc nous n’avions pas de tests parce que, comme pour les masques, ça ne servait à rien (sic !)

 

Les tests arrivent

Et puis en observant les autres pays, nous avons bien dû nous rendre à l’évidence que les tests pouvaient être utiles. Alors nous en avons validé et développé.

Je rappelle qu’il existe 2 tests face au COVID :

- La PCR qui se fait par un prélèvement local, souvent au fond des fosses nasales, qui permet de rechercher des traces du virus, son ARN. Ce test a ses limites : il dépiste des gens porteurs sains (ils ne sont pas malades, mais potentiellement contagieux), des gens porteurs et malades (ils ont des symptômes et on trouve du virus), mais aussi du « matériel viral ancien », c’est-à-dire des traces de virus mort chez des personnes qui ont été porteuses (saines ou malades), mais qui ne sont plus, ni à risque d’être malade ni contagieux. Pour autant, ce test permet surtout de vérifier qu’une personne n’est pas porteuse du virus (vivant ou mort) dans les limites de la fiabilité de l’examen bien entendu. C’est ce test qui a été largement utilisé au début par la Corée et l’Allemagne (on a pu confiner les malades, mais pas les autres), mais aussi par le Pr Raoult.

- Le Sérologie qui se fait par prise de sang afin de savoir si la personne a développé des anticorps contre le virus. Ce test pose plusieurs problèmes et limites : s’il est positif, il prouve que vous avez été en contact avec le microbe, mais c’est probablement ancien et ça ne nous dit pas si la personne est ou a été malade et/ou contagieuse. Il faut aussi savoir que le coronavirus ne déclenche pas forcément de production d’anticorps chez l’Homme. Donc si le test est négatif, cela ne veut rien dire du tout. Soit vous n’avez jamais été en contact avec le virus soit vous l’avez été, mais votre système immunitaire n’a pas fait ces fameux anticorps. Et tout ça dans la limite de la fiabilité du test or nous avons de nombreux exemples de maladies où les sérologies ne sont absolument pas fiables. La sérologie n’est donc potentiellement utile que si elle est positive !

Le gouvernement a donc décidé de faire réaliser, enfin, des tests PCR à grande échelle. Mais ils sont allés bien plus loin ! Pour la première fois, il a été décidé que ce test serait remboursé à 100% et pourrait être réalisé par n’importe qui sans ordonnance.

Voici une partie du texte du décret :

« Afin de faciliter le dépistage du Covid-19 (SARS-CoV-2), les tests PCR sont totalement pris en charge par l'assurance maladie et ne nécessitent pas de prescription d'un médecin. Un arrêté publié le 25 juillet 2020 au Journal officiel prévoit également que les prélèvements puissent être pratiqués sous certaines conditions par un infirmier diplômé d'État, un aide-soignant, un étudiant en médecine, un sapeur-pompier ou encore un secouriste. Des précisions avec Service-public.fr. »

Ce décret me trouble beaucoup. Il aurait pu se justifier en pleine épidémie, mais aujourd’hui où l’épidémie est sous contrôle (voir terminée en tant qu’épidémie comme je vais vous l’expliquer) est-il bien en phase avec une gestion médicale cohérente ? Cela montre une fois encore que les médecins sont la dernière roue du carrosse et qu’ils sont exclus du système de santé. Permettre de faire ce type de test sans aucun contrôle médical peut nous amener à tous les excès.

Nous sommes passés, comme pour les masques, d’un excès à l’autre. Nous n’avions rien du fait de l’incurie de notre système de santé et maintenant nous sommes dans une situation de pléthore sans contrôles !

 

Mais peut-être que tout cela a un but plus sournois comme nous allons le voir ?

En tout cas, mon vœu formulé au début de l’épidémie a été exaucé : on peut tester nos patients et le test est remboursé. Mais comme toujours, le diable se cache dans les détails !

J’ai effectué un petit sondage sur 84 médecins généralistes au sujet de leurs consultations sur les deux derniers mois concernant la COVID-19. On constate que 81% n’ont vu aucun cas de Covid-19 sur la période Juin et Juillet 2020. Par ailleurs, 15% des patients sont revenus avec un test positifs sur la même période bien que la majorité ne soient pas malades. Sur ces 84 médecins, 1 seul a eu un patient hospitalisé en 2 mois ! 

 

 

Et que donnent ces tests pratiqués de façon anarchique ?

Depuis quelques semaines on nous explique, tests à l’appui, que l’épidémie est en train de repartir, que le nombre de cas ne cesse d’augmenter et qu’il va falloir nous appliquer des restrictions de plus en plus draconiennes.

Alors les masques qui étaient inutiles d’après tous nos experts (et nos ministres) au mois de mars, en plein cœur de l’épidémie, quand nous avions plus de 500 morts par jour, sont devenus subitement obligatoires aujourd’hui où nous avons moins de 10 morts par jour. Il parait qu’il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis !

Ils sont obligatoires dans les endroits clos et le deviennent progressivement dans la rue. On envisage même de refermer les bars et le pire reste à venir en termes de limitation de nos libertés.

Mais sur quelle base scientifique ? On nous explique que c’est en se référant aux chiffres de nombre de cas positifs qui ne cessent d’augmenter. Ça parait logique, mais est-ce un bon argument ?

Prenons l’exemple de l’Occitanie où j’exerce et que j’observe à la loupe depuis le début de l’épidémie.

Le 30 juillet je lis dans la presse régionale :

Un gros titre qui va faire paniquer les plus hypocondriaques de mes patients, mais qui, surtout, m’interpelle !

Il faut vous dire que dans ma région au sud de Toulouse où nous avons une grosse clinique qui drainait tous les cas COVID du coin, nous avons eu 1 seul décès depuis janvier lié au COVID et il avait 96 ans. Pour ma part (et c’est le cas de la majorité de mes confrères de Haute-Garonne), je n’ai pas vu un seul malade du COVID depuis 2 mois au moins !

Alors que notre département soit entré dans les 10 les plus vulnérables a de quoi me surprendre.

Les chiffres exposés sont mêmes impressionnants :

« L’un des indicateurs sur lequel s’attarde Santé Publique France concerne le nombre de tests positifs pour 100.000 habitants, aussi appelé « taux d’incidence ». En Haute-Garonne, ce taux augmente de manière importante ces derniers jours.

En effet, ce chiffre s’élevait à 4,2 entre le 13 et le 19 juillet, contre 11,4 la semaine suivante, du 20 au 26 juillet. Sur cette période, c’est plus que le taux national qui s’élève à 9,5. »

Suis aussi aveugle que je n’ai pas vu que notre région devenait une des plus infectées de France ?

Heureusement, sur le site de ce journal électronique, je trouve un autre article qui m’a fait comprendre qu’une fois encore nous étions manipulés avec la complicité volontaire ou non de certains journalistes.

Et je lis le même jour :

Alors mon esprit un peu scientifique m’amène à prendre ma calculatrice et de constater que :

On a testé 3 fois plus de personnes depuis 1 mois

Le nombre de personnes positives est passé de 4.2 à 11.4, c’est-à-dire environ 3 fois plus également !
Je vous rappelle que ce sont des personnes testées positives, mais que la très grande majorité n’est pas malade et qu’aucune hospitalisation en soins intensifs n’a été nécessaire pendant la même période !

Donc, en réalité, l’épidémie n’a pas augmenté d’un iota en Haute-Garonne contrairement à ce que nous dit Santé Publique France, mais on a simplement réalisé plus de tests et, forcément, on trouve plus de cas positifs. Le nombre de personnes dépistées positives est directement proportionnel au nombre de tests réalisés. Ce nombre n’est donc pas un signe de recrudescence de l’épidémie.

Alors pourquoi parler de département « vulnérable » ?

 

Quelle est la situation en France ?

Pour vérifier mes calculs, je suis allé sur le site de Santé Publique France pour prendre mes informations à la source la plus officielle.

Et voici ce que vous pourrez trouver, comme moi, sur ce site.

D’abord j’ai voulu connaitre le nombre de personnes qui ont eu un test PCR positif (je dois vous préciser que tous ces chiffres concernent les PCR, car, comme vous l’avez compris, la sérologie réalisée par prise de sang n’a pas de fiabilité pour mesurer l’état de l’épidémie).

Voici la courbe des personnes dépistées positives, chaque jour, entre le 13 mai et le 28 juillet :

Vous constatez que les chiffres varient beaucoup d’un jour à l’autre, mais ont tendance à baisser au début puis à remonter significativement ces dernières semaines. Ça pourrait nous inquiéter, mais comme toujours il faut faire attention à l’interprétation des chiffres.

Alors je suis allé voir le nombre de personnes qui ont bénéficié d’un test dans la même période (graphique du bas sur l’image ci-dessus).

Vous remarquerez à quel point elles sont similaires !

En effectuant un zoom sur les dernières semaines pour que ce soit plus parlant (cerclé de rouge), le phénomène saute aux yeux, et les courbes sont pratiquement superposables à la différence de l’échelle ! Ce qui prouve une fois encore, comme pour les chiffres de la Haute-Garonne que le nombre de personnes positives dépend directement du nombre de personnes testées !

En clair, ces 2 courbes tirées des chiffres officiels nous prouvent mieux que tous les discours que l’épidémie n’est pas en pleine évolution contrairement à ce qu’on nous répète quotidiennement !

Plus on teste et plus on trouve de personnes positives ! En moyenne, en France, 2,5% des personnes testées sont positives.

Si vous testez 10000 personnes, vous avez 250 tests positifs

Si vous testez 40000 personnes, vous avez 1000 tests positifs.

Ces personnes positives existaient la veille ou la semaine dernière, mais c’est juste qu’on ne les avait pas testées.

Et on peut mettre ces courbes en parallèle avec les hospitalisations qui ne cessent de baisser pour prouver un peu plus qu’il n’y a aucune augmentation de l’épidémie. Voici les chiffres donnés par Santé Publique France de l’évolution des hospitalisations quotidiennes au 31 juillet :

La réalité est surtout que toutes ces personnes testées positives ne sont pas malades. Ce qui est confirmé par tous les recueils de données et par l’expérience des médecins de terrain qui ne voient plus de malades dans leurs cabinets ! Le confinement et les gestes barrière y ont contribué, mais n’expliquent pas tout.

 

Comment interpréter tout cela ?

D’abord un élément primordial que vous avez tous compris maintenant : nous ne sommes pas face à une épidémie de cas positifs, mais à une épidémie de tests ! Et comme les tests sont maintenant gratuits et réalisables sans ordonnance, cette épidémie n’est pas près de s’arrêter.

Donc je vous le dis, le nombre de cas positifs va continuer à augmenter !

Et si c’était la raison de ce décret sur les tests réalisables par tous : faire augmenter artificiellement le nombre de cas positifs pour pouvoir inquiéter la population et mieux nous contraindre par la peur. Car si vous pensez ces chiffres montrent une aggravation de l’épidémie, il est certain que vous accepterez plus facilement toutes les restrictions à nos libertés.

Et vous attendrez tous avec angoisse l’arrivée du vaccin qui sera considéré comme le sauveur de l’humanité. Le Messie que tous espèrent !

Mais, au-delà de l’aspect socio-politique, comment interpréter ces tests positifs au niveau du virus lui-même ? Car ils veulent bien dire que des personnes sont porteuses du coronavirus.

En pratique, puisque le nombre de cas positifs est proportionnel au nombre de tests c’est que ces personnes étaient déjà porteuses et qu’on ne fait que les révéler par les tests. Donc il faut comprendre que le virus est présent « en bruit de fond », chez 2,5% de la population.

Est-ce surprenant ? Non pas du tout. Je suis certain que vous avez croisé tout plein de gens malades depuis 1 mois. Ils ont eu des rhumes, des bronchites, des angines, des otites. Évidemment, ils ont été testés négatifs au COVID, car ce n’était pas la cause de leur pathologie. Ils ont donc été en contact avec d’autres germes.

Cela veut dire que de nombreux microbes circulent en bruit de fond dans la population, même l’été. C’est normal et c'est ainsi tous les ans. Si on testait tous les jours 10000 personnes à la recherche du virus grippal, je vous assure qu’on en trouverait des positifs, qui pour la plupart ne sont pas malades. Idem pour les microbes qui donnent des bronchites.

Donc, que des personnes soient positives au Coronavirus n’est pas surprenant. La vraie question est : ces personnes sont-elles malades ? Et la réponse est non dans 99% des cas. Et surtout il n’y a plus de cas graves à part quelques cas particuliers avec de nombreuses comorbidités (ils ont plusieurs maladies qui les fragilisent).

D’ailleurs, si le virus était vraiment aussi virulent qu’en février-mars, l’épidémie serait déjà repartie. Vous avez probablement vu les images de la fête de la musique ? Ou celle du métro parisien. La promiscuité est majeure. Croyez-moi, si le virus était aussi virulent qu’au départ, on aurait eu une recrudescence des cas et le nombre de cas ne serait pas proportionnel au nombre de tests. Petit à petit on aurait 3 puis 5 puis 10% des tests positifs ! Or ce n’est pas le cas.

Donc on peut honnêtement penser que le virus a muté et qu’il est moins virulent[1]. Cela veut dire qu’il est moins contagieux et surtout moins agressif. Évidemment, on aura probablement quelques cas graves liés au terrain de la personne. Mais aujourd’hui, je crains beaucoup plus la canicule que le coronavirus pour nos anciens dans les EHPAD.

Je ne dis pas qu’il faut abandonner nos gestes barrière. Nous devons protéger les plus faibles, non seulement d’un éventuel contact avec un coronavirus, mais aussi des autres risques sanitaires. Mais attention, les masques sont des faux amis. Ils donnent un faux sentiment de protection alors que nous savons que la principale contagiosité se fait par les mains.

Et surtout, paniquer la population pour des chiffres qui prouvent en fait qu’il n’y a aucune progression de l’épidémie et que nous voyons de moins en moins de malades est-il vraiment une bonne chose ?

Condamner des pans entiers de notre économie, mais surtout créer des sentiments d’anxiété avec toutes les pathologies qui en découleront est-il vraiment une bonne idée sur le plan sanitaire et social ? Pourquoi ne pas faire une interprétation objective de ces tests ? On a l’impression que les experts ne savent plus le faire. On comprend mieux pourquoi ils ne voulaient pas les utiliser au début. Comme s’ils avaient peur, comme s’ils étaient impressionnés des résultats sans savoir en tirer les bonnes conclusions. Ce ne sont que des tests et il y a une règle en médecine : « on soigne des gens, pas des analyses ». Les analyses sont là pour nous orienter, mais ne doivent pas être le seul argument pour prendre une décision thérapeutique (ou politique).

Si nous informions nos citoyens avec rigueur, transparence et honnêteté ne croyez-vous pas qu’ils seraient plus enclins à respecter des règles de bon sens tout en ayant une vie plus confortable ?

Malheureusement, ce n’est pas la démarche mise en place. Pour le moment, tout est fait pour créer un sentiment d’insécurité et restreindre nos libertés.

Alors la question qu’il reste à poser est : pourquoi ? À qui profite le crime ?

 

[1] Évolution du SARS-CoV-2 face au système immunitaire de son hôte - https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-02886806 - DOI : 10.13140/RG.2.2.13433.29281, - http://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/covid-19-comment-expliquer-levolution-temporelle-de-la-pandemie

Dr Eric MENAT est médecin généraliste et responsable d’une pétition sur la liberté de prescription ayant recueilli plus de 420 000 signatures

https://www.youtube.com/watch?v=Rit3iLxcdFA&t=24s

 

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