Le consentement maltraité

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Le Collectif citoyen, pour FranceSoir
Publié le 30 décembre 2020 - 21:54
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Marianne malade
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FS
Marianne est bien fatiguée...
FS

Nous vivons en bien des points une période de premier plan d’un point de vue historique. En effet, cette pandémie aura vu l’Empire des démocraties occidentales, avec l’Europe et les Etats-Unis,  s’inspirer d’une dictature les plus liberticides au monde, la Chine communiste, sous couvert de lutte contre une pandémie avec 0,05 % de mortalité, pour peu que l’on considère la Covid, et non l’âge, comme étant la cause des décès dans la plupart des cas. Après avoir, au pays des droits de l’homme et du citoyen, piétiné nos libertés fondamentales durant presque un an, Emmanuel Macron, comme une confession expiatoire, a daigné concéder aux citoyens français, le droit de refuser de servir de cobayes pour un traitement expérimental. Nous lui en sommes grées. Et loin des clichés antivax et complotiste auxquels on réduit toute personne qui a des questionnements, depuis le début de cette pandémie, nous ne sommes pas foncièrement opposés à cette vaccination. Mais, comme les lois bioéthiques l’exigent, nous n’entendons pas concéder notre consentement sous la pression et sans que celui-cisoit éclairé.

Qu’est qui différencie l’homme de l’animal ? Le consentement.

Si l’on regarde nos existences de manière froide, cynique, on pourrait très facilement suggérer que nous menons le même quotidien que n’importe quel troupeau de bétail : on nous fait produire continuellement, selon notre pedigree, on a le droit à du bon ou du mauvais grain, à un clapet ou à un vaste pré arboré avec belle demeure. La seule différence, c’est le consentement : les bêtes n’ont pas le choix d’être réduites à une ressource quelconque. La ressource humaine, elle, ne se pourvoie pas encore, dans nos démocratie, par la contrainte. Sauf en temps de guerre.

En cela, effectivement, notre président et son exécutif auront livré une véritable guerre : ils auront anéanti l’exigence du consentement, réduisant nos libertés fondamentales au simple choix d’accepter ou non, sous peine de sanctions sans égale, l’assignation à résidence. La France aura ainsi été à deux reprises un centre pénitentiaire à ciel ouvert.

Car ne nous y trompons pas, le confinement est acte médical. Le masque est acte médical. L’interdiction de prescrire imposée aux médecins est acte médical, qui fait fi du consentement des patients. Ces actes médicaux ont été imposés à 67 millions de Français. Une grande part, il est vrai, a consenti. Mais une autre frange de la population non négligeable, n’a à aucun moment consenti à ces traitements dont les effets secondaires auront des conséquences mortelles pendant encore longtemps : faillites, divorces, suicides, licenciements, dépressions... Rares sont les remèdes qui génèrent autant de maux. Tant qu’on aura bientôt du mal à comprendre comment une infection, qui demeurera relativement peu mortelle dans l’histoire des grandes pandémies, a pu générer autant de vie détruites. La fameuse balance bénéfices/risques, chère à nos prescripteurs d’ARN, en prend ici un coup : pour un taux de mortalité de 0,05 %, on a expérimenté des traitements collectifs de chocs en enfermant 67 millions de personnes, en traitant des centaines de personnes au remdesivir, en bannissant le sourire comme moyen d’expression. Ces traitements ont des effets secondaires durables et souvent létaux qu’il sera difficile d’annihiler. La balance bénéfices/risques penchait alors lourdement du côté risque. Et ce d’autant plus qu’il y avait des alternatives nombreuses grâce aux traitements en prophylaxie. Aussi, de nombreuses personnes, en France et dans le monde, ont manifesté clairement leur non-consentement à ces traitements de choc. On a bafoué leur droit, le droit de ne pas mettre en danger leur intégrité physique, psychologique, sociale, pour permettre d’expérimenter un traitement, d’expérimenter le confinement, le remdesivir, les masques en plein air et maintenant les vaccins. On les a traité de complotistes, de séditieux, d’adeptes d’une secte, car ils refusaient ce consentement que nos gouvernants avaient omis de leur demander.

Le consentement est le pilier de l’éthique médicale. Pour le soin autant que pour la recherche. Aucun être humain ne doit pouvoir faire l’objet d’une quelconque expérimentation sans avoir consenti de façon libre, éclairée et expresse à celle-ci . Toute atteinte à ce principe serait de nature à engager la responsabilité civile du promoteur (article L1121-10 Code de la Santé Publique) et la responsabilité pénale de leurs auteurs (article 223-8 Code Pénal).

Qu’est-ce que le consentement éclairé ?

Le consentement éclairé est essentiel à l’éthique. Les lignes directrices du CIOMS le définissent comme suit.

C’est la « décision prise par un individu capable :

- qui a reçu l’information nécessaire (oralement et par écrit) ;

- qui l’a bien comprise ;

- et qui, après l’avoir examinée, est arrivé à une décision sans avoir subi une pression, une influence indue ou une intimidation. »

Depuis l’annonce par communiqué de presse de la disponibilité des vaccins Pfizer, la pression exercée par les médecins sur les plateaux télé, par les médias, par nos responsables politiques est déjà une entorse grave à l’éthique du consentement. Pour les médecins, toujours plus autoritaires sur les plateaux de télévision, c’est encore pire : ils violent leur serment d’Hippocrate : « J'informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences. Je ne tromperai jamais leur confiance et n'exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences. »

Certains exhortaient même le gouvernement à rendre ce vaccin obligatoire avant même qu’un début de publication ne soit fourni par Pfizer. Quand on sait que l’Ordre des médecins perd son temps et son énergie à poursuivre Raoult et Perronne dont la seule faute est de s’être opposés à l’interdiction d’un traitement éprouvé, dont les effets secondaires sont connus et maîtrisés, et dont les bénéfices sont de plus en plus reconnus de par le monde.

Outre les pressions exercées sur les citoyens français, malades ou non malades, sujet à risques ou sujet sain, que serait la valeur d’un consentement libre et éclairé sans une information préalable, complète, loyale et fiable ? Après un petit bond en bourse, très rentable, Pfizer a fini par fournir la publication de ses résultats même si ces derniers sont encore encore très parcellaires (1). Il est important de le souligner.

Nous, le Collectif citoyen, souhaitons plus que tout sortir de cette crise qui n’a que trop duré. Aussi, si ces vaccins ARNm ou les autres vaccins en voie de développement fonctionnaient, nous serions heureux de nous faire administrer ces traitements et militerions même pour qu’un maximum de citoyens acceptent de se faire vacciner.

Mais afin d’éclairer notre consentement, nous aimerions que nos autorités sanitaires, que tous ces médecins insistants pour que l’on se fasse injecter cette potion dont Pfizer ne révèle pas la composition précise, que notre ministre de la Santé qui s’est transformé en véritable VRP de cette solution thérapeutique, éclaircissent quelques zones d’ombre qui nous semblent encore trop opaques pour nous engager sur ce sentier incertain de la thérapie génique.

Car, malgré les débunkages autoritaires sur l’appellation « thérapie génique », ce vaccin est bel et bien une technologie de thérapie génique, de l’aveu même de ses inventeurs, Katalin Kariko et Drew Weissman : « ARNm : Remplir la promesse de la thérapie génique » publié en septembre 2015 dans Molecular therapy (2).

L’autre hypothèse dénoncée comme une fake news par nos médias inquisiteurs et nos médecins ordonnateurs concerne la capacité de ce long brin d’ARNm contenu dans la vaccin à intégrer notre matériel génétique. D’après eux, cette hypothèse est pure foutaise : or il est plus que probable, et cela est facile à démontrer, que d’une part ce long brin d’ARNm puisse interagir avec notre génome par l’intermédiaire des nombreuses boucles de régulation génique dans lesquelles sont impliqués les ARNm, et d’autre part, du fait qu’il est inévitable que ce long brin d’ARN subisse, in vivo, des altérations et qu’il produise avant ou après traduction des petits fragments d’ARN, dont certains inférieurs à 40 kDa, donc au diamètre des pores nucléaires, ou en possible interaction avec les importines, protéines de transport nucléaire, ainsi que des nucléosides libres, qui pour certains sont des nucléosides transformés comme la pseudouridine : ces résidus de l’ARNm vaccinal pourront indéniablement avoir un impact sur l’expression génique de nos cellules transfectées et même potentiellement intégrer notre ADN sous une forme ou sous une autre.

Durant cette pandémie, le statut du modèle scientifique 3.0 aura anéanti la rigueur de la démarche scientifique : le modèle n’est pas un fait établi, il n’a vocation qu’à réduire la complexité.  Les modèles formalisés, qu'ils se présentent sous forme d'une série d'expressions mathématiques ou sous la forme équivalente d'un modèle concret réellement construit ou simplement représenté graphiquement, créent une distance par rapport à l'objet biologique à expliquer. L'analogie risque de renforcer la tentation d'une assimilation naïve de l'objet biologique à son analogue.

C’est ainsi que Gilead est parvenu à placer le remdesivir dans la course aux opportunités induite par cette pandémie. Le modèle était séduisant : un analogue de l’adénosine qui de manière quasi-automatique, rentrerait dans nos cellules pour s’insérer dans l’ARN viral afin de bloquer la réplication. Comme pour les vaccins Pfizer et Moderna, ces modèles font fi des réalités biologiques, physiologiques, moléculaires et génétiques qui composent un organisme vivant. Le corps humain n’est pas un algorithme.

Sur le papier, cela est plus que séduisant : un traitement auto-inductif qui ne nécessite que deux prises, une molécule assez instable pour ne pas perdurer dans notre organisme, des enzymes qui permettent de stabiliser et de protéger l’ARN, puissant immunostimulant, une nanoparticule lipidique programmée pour atteindre sa cible cellulaire, l’absence d’adjuvants neurotoxiques comme l’aluminium. Cette invention est en tout point géniale et ses inventeurs, Katalin Kariko et Drew Weissman, sont à nos yeux de véritables génies. On ne peut que souhaiter que cette technologie devienne efficiente tant elle pourrait effectivement répondre à nombres de pathologies infectieuses, génétiques, oncologiques…

Mais malgré la considération que nous avons pour ces deux grands pionniers de la médecine moderne, nous aimerions qu’ils explicitent quelques points de leur modèle avant de concéder notre consentement avec enthousiasme, lorsque ces zones d’ombres auront été levées :

- Quelles sont les sondes utilisées pour valider la production d’anticorps par les sujets vaccinés ? Quelle est la spécificité de ces sondes ? Comme FranceSoir l’avait montré pour les tests PCR, la spécificité des tests diagnostics est loin d’être aussi évidente (3) (4). Cela est encore plus incontestable pour les tests antigéniques et les réactions croisées avec de nombreux autres virus sont très largement documentées (5). Qu’en est-il des tests utilisés et de leur spécificité pour aboutir à 95 % de résultats positifs, c’est à dire à 95 % de patients qui sécrètent des anticorps, car c’est bien cela que mesure la supposée efficacité des vaccins ARN ?

- Quid des 5 % ne sécrétant pas d’anticorps ? Pourquoi ces sujets ne produisent-ils pas d’anticorps si l’ARNm vaccinal parvient de manière aussi efficace à se être traduit dans nos cellules ? La lecture de la publication de Pfizer pourrait amener à penser que ces 5 % qui, semble-t-il, n’ont pas réagi aux vaccins, pourraient correspondre aux 5 % qui atteints du SARS-Cov-2 développent une forme grave ?

- Dans le prolongement, le fait qu’il y ait sécrétion d’anticorps et donc activation de la réponse immunitaire humorale implique-t-il nécessairement qu’aucun virus ne parviennent à infecter nos cellules épithéliales pulmonaires et que la réplication intracellulaire du virus soit efficacement empêchée ? Le SARS-Cov-2 pénètre dans nos cellules directement par les muqueuses respiratoires et l’intervention des lymphocytes B n’adviendra par définition qu’après infection de nos cellules. La réponse inflammatoire aura alors déjà commencé et les virus seront pour une part en phase de réplication dans nos cellules. Si tel est le cas, la production d’anticorps induite empêche-t-elle la survenue de l’orage de cytokines responsable de la létalité de cette maladie ? Il est à noter que le taux d’effets secondaires graves provoqués par ce vaccin, à savoir 2,8 %,  est bien supérieure aux taux observés avec des vaccins traditionnels, contrairement à ce qui est soutenu par nos médias mainstream.

- Comment s’assurer que ces réactions inflammatoires exacerbées observées chez 2,8 % des patients, allant jusqu’au choc anaphylactique, ne sont pas provoquées par l’ARNm dont la capacité inflammatoire est sans pareil ? De même pour les nombreux effets secondaires ressentis par de nombreux sujets très rapidement après l’injection, avec notamment inflammation au point d’injection ? Comment se fait-il que cette réaction inflammatoire ait lieu aussitôt l’injection effectuée alors que la modification de codons en codons homonymes, le remplacement de l’uridine par la pseudo uridine et la constitution de la nanoparticule lipidique la nanoparticule lipidique protégeant l’ARN devrait garantir un transport jusqu’aux cellules sans justement provoquer d’inflammation, hautement délétère pour l’ARN, même protégé par un lysosome ?

- Dans la publication soumise aux autorités, Pfizer reconnaît ne pas avoir de données cliniques sur la génotoxicité et sur la capacité muta génétique de ce vaccin ARN. Cela nous surprend : malgré les clairons incessants de nos médias, de nos plateaux de médecins et même de nous gouvernants, ce vaccin n’a pas été créé en moins d’un an. Il est le fruit de plus de vingt ans de recherches. La spécificité du matériel génétique introduite dans le véhicule, ici l’ARNm, n’est qu’une étape subsidiaire des nombreux problèmes rencontrés pour cette thérapie génique depuis 30 ans. C’est d’ailleurs là les plus grandes trouvailles de Katalin Kariko et de Drew Weissman : être parvenus à véhiculer l’ARNm jusqu’à l’intérieur de la cellule, grâce à un lysosome constitué de nanoparticules lipidiques qui empêche la digestion par les endosomes intracellulaires et avoir réussi à stabiliser l’ARNm, par nature très instable, ainsi qu’à inhiber sa puissante capacité immunostimulante en substituant des nucléosides transformés ou en transformant des codons en codons homonymes. C’est en cela que nous sommes surpris qu’il n’y ait pas ou peu de données de toxicité en générale, et de données sur la génotoxicité en particulier : dès 2013, Moderna et Astrazeneca ont injecté de l’ARNm codant une protéine appelée facteur de croissance endothéliale vasculaire (VEGF) à des personnes ayant eu un infarctus du myocarde. Malgré l’avancement de ce projets et de projets annexes, ceux-là n’ont toujours pas abouti, pour deux raisons : l’efficacité et le toxicité n’étaient pas assez précisément évaluées et la plupart des publications, à l’instar du remdesivir de Gilead, étaient le fait soit des laboratoires eux-mêmes, soit de chercheurs affiliés. C’est d’ailleurs là un reproche qui a été fait par les investisseurs de la technologie ARN : Moderna, le laboratoire le plus avancé sur cette technologie, n’a jamais fourni l’entièreté de ses données et beaucoup n’ont pas été soumises à publication (5). Depuis une trentaine d’année que de nombreux chercheurs travaillent sur le potentiel thérapeutique de l’ARNm dans différents domaines de la médecine, il est surprenant qu’il n’y ait pas de données plus précises quant à la toxicité et la génotoxicité induite par cette technologie. Pour le remdesivir, le Collectif citoyen a dû s’en référer à des molécules analogues, aux propriétés biochimiques de la molécules et aux données de fabrication pour établir que la molécule était très toxique alors que le remdesivir était testé depuis 5 ans. Est-ce devenu la nouvelle démarche scientifique pour inventer des thérapies : éviter les études toxicologiques et/ou modifier les échantillonnages lorsque des évènements surviennent ? Si l’on se fie à la composition supposée des vaccins ARNm de Pfizer et de Moderna, il nous serait difficile de ne pas songer qu’ils puissent être potentiellement très toxiques : l’ARN étranger est toxique pour l’organisme, les nucléosides sont toxiques pour l’organisme, davantage encore lorsqu’ils sont modifiés comme la pseudouridine, les enzymes et la capsule protégeant l’ARN sont potentiellement toxiques... La chorégraphie proposée par Pfizer est séduisante, mais comment in vivo, leurs chercheurs peuvent nous assurer qu’elle soit aussi précisément exécutée ? Moderna pourrait-il enfin fournir les nombreuses données collectées et jamais révélées depuis 2010 ?

Ce qui semble évident, c’est que les cas d’hypersensibilité avec évènements graves représentent jusque-là un ratio plus important que pour la Covid-19.

-  Pourquoi ces vaccins impliquent-ils qu’ils faillent utiliser des contraceptifs plusieurs semaines après l’administration comme indiqué dans la notice Pfizer ? La seule idée qui nous viennent à l’esprit pour expliquer cette injonction des fabricants eux-mêmes, est que l’ARN modifie potentiellement le matériel génétique de nos gamètes et donc pourrait induire des problèmes en cas de fécondation. Si tel est le cas, à quel moment de la gamétogenèse, cette interaction survient-elle ? Nos cellules germinales sont-elles atteintes ?

- Que devient la capsule nanométrique lipidique qui enfermait l’ARNm ? Nous présumons qu’elle est censée se dégrader, même si le mécanisme nous paraît obscur puisqu’elle a été justement conçu pour résister à la dégradation. Dans ce cas, qu’en est-il des résidus de cette dégradation ? De leur impact sur fuseaux et le cycle cellulaire ?

Il y aurait encore bien des questionnements à soulever pour s’assurer de l’efficacité et de l’innocuité de ces vaccins, notamment quant aux traitements supplémentaires, tels que des corticoïdes, suivis par de nombreux patients avec comorbidité, patients qui ont le profils des personnes susceptibles de développer des formes graves.. Conscients que l’urgence induise que la balance bénéfices/risques penchent préférentiellement du côtés des bénéfices, que nous ne pouvons que tous espérer, nous nous contenterons de la lumière sur ces quelques ombrages pour estimer notre consentement éclairé.

Aussi, c’est dans un esprit de consensus, et donc de controverse bienveillante, que nous soumettrons ces questionnement à Pfizer. Car comme les lecteurs de France Soir et ceux qui suivent le Collectif citoyen l’auront compris, nous avons déjà de nombreux éléments de réponse. Pour ne pas opposer un modèle à un autre, nous invitons donc les fabricants à préciser le leur.

Nous ne manquerons pas alors de devenir d’enthousiastes militants de la vaccination. Ce traitement est un véritable espoir pour nos sociétés, pour protéger les plus fragiles et sauver le maximum de vies possible, pour permettre aux sacrifiés de la Covid de reprendre leur vie, de se reconstruire, pour redonner aux mots humanité et liberté, toute leur noblesse. Il semble donc important, afin qu’un maximum de personne concède son consentement, que toute la lumière soit faite sur ces zones d’ombre.

Seule la science dans toute sa rigueur peut faire jaillir cette lumière qui mettra fin à cette obscure période.

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