Primaire de la droite droite: après s'être moquée de la "flippante figure" de Pécresse, Hidalgo s'excuse


Valérie Pécresse a été la cible de moqueries sur les réseaux sociaux y compris de la part de certains élus parisiens. Anne Hidalgo a démenti ce vendredi 25 être à l'origine du tweet sur Valérie Pécresse disant qu'elle a confondu +bonne figure+, et +flippante figure+. Son community manager serait à l'origine du tweet, qu'il a publié "par erreur".
En effet, la présidente de la région Ile-de-France a été victime de railleries jeudi 24, alors qu'elle assistait au débat sur la primaire à droite, dans lequel s'affrontait Alain Juppé et François Fillon. Assise au premier rang, Valérie Pécresse qui a apporté son soutien à Alain Juppé lorsqu'il se trouvait en tête des sondages, affichait un sourire béat.
Il n'a pas fallu attendre longtemps pour que des moqueries se répandant sur les réseaux sociaux. Le maire du XIIIe arrondissement de Paris, Jérôme Coumet a publié sur son compte Twitter le message suivant: "L'ancienne filloniste Valérie Pécresse, celle que Fillon appelle dorénavant 'Valérie Traitresse', essayait visiblement de faire bonne figure".
L'ancienne filloniste Valérie Pécresse, celle que Fillon appelle doréravant "Valérie Traitresse", essayait visiblement de faire bonne figure pic.twitter.com/nvLULQbLJa
— Jérôme Coumet (@jerome_coumet) 25 novembre 2016
Le message a été retweeté sur le compte d'Anne Hidalgo qui a ajouté "Elle a simplement confondu +bonne figure+et +figure flippante+. Le tweet qui a déclenché une polémique, a été rapidement supprimé, mais certains utilisateurs l'ont récupéré.
La Maire de Paris a présenté ses excuses expliquant l'"erreur" de son community manager qui souhaitait publier le tweet sur son compte personnel. "Je déplore et regrette cette erreur, qui ne correspond pas à l'idée que je me fais du débat public. Je ne me suis jamais livrée à des attaques de personne, et j'exècre ces pratiques", a affirmé Anne Hidalgo. Sur Twitter Valérie Pécresse a dit "prendre acte du message d'excuses".
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