Elle envoie 159.000 textos à un homme après un seul rendez-vous

Aux Etats-Unis, une jeune femme a envoyé plus de 150.000 textos en 10 mois à un homme après un simple rendez-vous. Elle a été interpellée après s'être introduit au domicile de sa vicitme. 

L'attirance n'était visiblement pas réciproque. Une jeune femme de 33 ans, Jacqueline Claire Ades, a envoyé pas moins de 159.000 textos à un homme après un seul rendez-vous galant dont un où elle le menaçait de "faire des sushis avec ses reins" et "des baguettes avec des os de sa mains". Elle s'est également rendue coupable d'intrusion au domicile de l'individu. Elle avait été retrouvée nue chez lui en train de prendre un bain.

Les faits ont eu lieu en Arizona (Etats-Unis). La jeune femme avait fait la rencontre de l'homme qu'elle a harcelé sur une application de rencontres réservé aux hommes riches. Le rendez-vous ne s'était pas très bien passé selon la presse locale qui précise que les deux s'étaient séparés "avant la fin de la nuit". Jacqueline Claire Ades a alors entamé un long harcèlement de l'individu lui envoyant près de 500 messages téléphoniques par jour pendant 10 mois. L'homme a expliqué qu'il avait répondu à quelques textos et avait rapidement bloqué le numéro de la jeune femme. Ce qui ne l'avait pas arrêtée pour autant. Dans un des messages, Jacqueline a prévenu l'homme d'affaires qu'elle allait "se baigner dans son sang". De très nombreux messages font également mention de l'argent de la victime.  

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En avril de cette année la jeune femme avait été encore plus loin en entrant par effraction au domicile de sa victime alors que celui-ci se trouvait à l'étranger. Prévenues les forces de l'ordre s'étaient rendu sur place et avaient découvert que la jeune femme prenait un bain et avait préparé un repas dans la cuisine de l'homme d'affaires. Un grand couteau avait également été retrouvé dans sa voiture. Selon les policiers qui l'ont interpellée la jeune femme présentait tous les signes de maladie mentale.

Placée en garde à vue, elle a plaidé non coupable à des accusations de harcèlement et d'intrusion criminelle. Elle a été placée en détention provisoire dans l'attente de son procès qui doit avoir lieu en février.

Voir:

Un employé de l'ONU sur trois a été victime de harcèlement sexuel (étude)

Coup de balai anti-harcèlement dans la City

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