Un trisomique de 13 ans violé dans son école, il accuse un employé

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La rédaction de France-Soir
Publié le 19 août 2019 - 16:31
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Une salle de classe dans une école primaire parisienne, le 1er septembre 2014
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© THOMAS SAMSON / AFP
L'enfant a été violé dans une salle de classe.
© THOMAS SAMSON / AFP

Le 5 août dernier, un jeune garçon trisomique a été violé dans son école spécialisée de Johannesbourg en Afrique du Sud. Le suspect est un employé de l'établissement qui aurait abusé de la victime fragile dans une salle de classe.

L’enfant de 13 ans a subi l’atroce agression dans les murs mêmes de son établissement spécialisé dans l’accueil de jeunes trisomiques: un jeune adolescent a été violé dans une salle de classe d’une école en Afrique du Sud. Il accuse un membre du personnel.

Les faits se sont déroulés le 5 août dernier dans la ville de Johannesburg comme le rapporte la presse locale ce lundi (voir ici). C’est la mère de la victime qui a compris que quelque chose n’allait pas avec son fils ce jour-là. Le garçon n’est pas sorti de son école à l’heure et c’est la mère qui a dû le chercher dans les murs de l’établissement pour le ramener chez elle. L’adolescent dégageait en outre une odeur étrange et la mère a découvert des "traces" dans les sous-vêtements de la victime faisant craindre le pire. Le jeune trisomique a lors relaté ce qu’il avait vécu dans l’enceinte de son école.

L’adolescent a expliqué avoir été violé par un employé de l’école qui l’avait enfermé dans une salle avant d’abuser de lui. Détail sordide, l’individu désigné par la victime avait "aidé" la mère à retrouver son garçon alors qu’il ne sortait pas de l’école en expliquant qu’il était sûrement "endormi" dans une salle de classe, celle-là même où l’homme l’aurait séquestré pour le violer.

Voir aussi: Bois de Boulogne: un routier soupçonné du viol de deux étudiantes

Le suspect a été suspendu mais, toujours selon les médias locaux, il n’a pas été arrêté par la police qui a néanmoins ouvert une enquête pour viol.

La trisomie 21, dite aussi syndrome de Down, touche en moyenne un bébé sur 800. Elle est causée par la présence d’un chromosome supplémentaire dans les cellules d’un nouveau-né.

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