Stephen Hawking avait prédit la fin de l'univers avant de mourir
L'astrophysicien britannique Stephen Hawking, considéré comme l'un des esprits les plus exceptionnels que la Terre ait connu, est décédé le mercredi 14 mars à l'âge de 76 ans. Il était atteint depuis 1964 de la maladie de Charcot, une pathologie neurodégénérative qui l'a cloué dans un fauteuil roulant jusqu'à sa mort mais ne l'a jamais empêché de penser et d'élaborer nombre de théories scientifiques.
D'ailleurs, deux semaines avant de mourir il travaillait encore sur un sujet qui l'a passionné toute sa vie: l'univers et sa fin programmée. Il a d'ailleurs coécrit avec Thomas Hertog (un physicien belge de l'université catholique de Louvain) un article scientifique à propos des circonstances dans lesquelles l'univers devrait s'éteindre.
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L'article en question est toujours en cours de relecture mais il devrait prochainement être publié dans une grande revue scientifique. Selon Thomas Hertog, ces dernières lignes de Stephen Hawking aurait pu lui valoir un prix Nobel (qui n'a jamais été attribué à titre posthume).
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Dans cet article, Stephen Hawking explique que l'univers s'éteindra (sans dire quand, ce qui aurait été sans doute bien plus angoissant) quand tous les astres autour mourront et qu'il se retrouvera alors plongé dans le noir.
Mais ce n'est pas la seule chose qu'il a avancée. Il donne aussi une technique pour que les scientifiques prouvent l'existence de plusieurs univers parallèles, qui auraient été créés automatiquement lors du Big Bang. Une histoire de rémanence et de radiation qui seraient mesurables à l'aide de sondes envoyées dans l'espace.
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