Bus scolaire


Un enfant de 4 ans a été laissé seul toute une journée dans son bus scolaire, le 8 janvier, à Sougé dans le Loir-et-Cher. Le chauffeur n'a pas remarqué qu'il était resté assis sur son siège avec sa ceinture de sécurité toujours attachée.

Face aux chutes de neige annoncée, la région Hauts-de-France a annoncé supprimer les transports scolaires mardi dans les départements de l'Aisne, du Pas-de-Calais et de la majeure partie du Nord. Dans les zones épargnées, il pourrait néanmoins être impactés le matin.

Un enfant de 3 ans a été oublié pendant huit heures dans le car qui l’emmenait à l’école en Eure-et-Loir, mardi. Sans boire, ni manger, pendant ce laps de temps, il est finalement en bonne forme physique.

Une fillette de trois ans n'est pas descendue du car scolaire lundi, à Ris-Orangis (Essonne). "Oubliée", elle y est restée enfermée plusieurs heures avant d'être retrouvée saine et sauve. La mairie a évoqué "une erreur" et lancé une enquête administrative.

La vidéo d'un train qui traverse au ralenti la route, alors que les barrières sont levées au passage à niveau de Chabrières dans les Alpes-de-Haute-Provence, fait le buzz depuis lundi. Après le drame de Millas, les images de ce genre ont afflué sur les réseaux sociaux.

Guillaume Pepy, président de la SNCF, a évoqué la nécessité de renforcer la sécurité sur les passages à niveau, plus de deux semaines après le drame de Millas qui a coûté la vie à sept collégiens. La question de savoir si les barrières étaient ouvertes ou fermées au moment de l'impact demeure.


Suite au drame de Millas, les familles de certaines victimes ont estimé que la prise en charge était presque inexistante. Au micro de France Bleu Roussillon ce lundi, le responsable de la cellule d'urgence a tenu à répondre aux critiques.


Une collision entre un bus scolaire et un TER a fait six morts et de nombreux blessés le 14 décembre dernier à Millas (Pyrénées-Orientales). Plusieurs jours après le drame, les parents de certaines victimes dénoncent la gestion de l'accident par les autorités et exigent des excuses de la part de l'Etat.

Une collégienne qui se trouvait dans le second autocar, et qui a donc assisté à l'accident mortel à Millas, affirme ce samedi que les barrières de sécurité ne se sont pas baissées. Un témoignage qui rejoint celui de la conductrice du véhicule percuté par le TER.
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