Complice

Le très proche collaborateur d'Emmanuel Macron Alexandre Benalla, que des images montrent frapper un jeune homme le 1er mai, a provoqué un scandale qui touche les plus hauts sommets de l'Etat. Retour sur une polémique aux multiples rebondissements.

Trois gradés de la police nationale ont été suspendus ce vendredi car soupçonnés d'avoir fourni à Alexandre Benalla des images de vidéosurveillance de son implication dans des violences le 1er mai dernier. Des images normalement effacées au bout de 30 jours.

Le nom du "troisième homme' que l'on voit sur la vidéo des violences commises par Alexandre Benalla et Vincent Crase le 1er mai dernier, a été dévoilé ce vendredi: il s'agit d'un policier chargé d'encadrer le chargé de mission de l'Elysée. Et qui n'a donc fait que regarder passivement tandis que les deux hommes outrepassaient leurs prérogatives.

Affaire Benalla: Vincent Crase, Laurent Simonin, Maxence Creusat... la liste des impliqués s'allonge
Mercredi, ce n'était qu'un seul nom, celui d'Alexandre Benalla, qui émergeait dans le scandale du tabassage d'un manifestant le 1er mai par un "observateur" proche d'Emmanuel Macron et travaillant à son service. Mais l'affaire prend depuis de l'ampleur, avec des responsabilités touchant la hiérarchie de l'Elysée et la police soupçonnée d'être complice.

Ce lundi s'ouvre le procès de Stéphane Turk, le bijoutier niçois qui avait abattu un homme qui venait de le braquer. Le commerçant peut compter sur de nombreux soutiens en ligne. Il sera pourtant bel et bien seul pour convaincre les jurés qu'il a agi en état de légitime défense.

Un complice de l'évasion d'un détenu fiché S pour radicalisation, survenue mercredi matin à Brest, s'est rendu le soir même. Il a été placé en garde à vue. L'évadé, multirécidiviste de 21 ans jamais condamné pour des faits en lien avec le terrorisme, est toujours recherché.

Nicolas Sarkozy a été rémunéré 86.355 euros en jetons de présence l’an dernier en tant qu’administrateur du groupe hôtelier AccorHotels. Une coquette somme pour l'ancien chef de l'Etat qui a participé à 14 réunions.

Nicolas Sarkozy va être renvoyé devant le tribunal correctionnel pour des accusations de corruption et trafic d'influence, a-t-on appris ce jeudi. L'ancien président est accusé d'avoir tenté d'influer illégalement sur des investigations le visant.

Nicolas Sarkozy a donné une longue interview au "JDD" où il annonce qu'il "brisera les auteurs de la machination honteuse" après sa mise en examen dans l'affaire du financement libyen. L'ancien chef de l'Etat a identifié trois cibles.

La radio RFI a diffusé deux interviews de témoins confirmant que Mouammar Kadhafi a financé la campagne électorale de Nicolas Sarkozy en 2007. Le principal témoin confirme l'authenticité du document prouvant un transfert d'argent.

Jeudi soir, au 20h de TF1, Nicolas Sarkozy est venu contester sa mise en examen en direct sur le plateau. L'ancien président de la République estime que les éléments ayant motivé la poursuite de la procédure ne sont pas probants.

Ils ont fait subir une nuit de tortures à leur victime, une mère de famille de 44 ans, qui mourra d'une hémorragie après avoir été violée à coups de bouteille. Jean-Michel Colson, un quinquagénaire récidiviste, et Damien Gatine, un retardé mental, ont été condamnés à de lourdes peines.
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