Nations unies


La violence et la complexité de la guerre civile au Yémen, ainsi que l'intervention de nombreux acteurs extérieurs, a permis à l'Etat islamique de s’implanter dans le pays. Matteo Puxton, spécialiste des questions de défense et observateur de référence de l'organisation terroriste, fait le point en partenariat avec "France-Soir, sur la présence des djihadistes de l'EI au Yémen.

Mohamed Ben Salmane, prince héritier d'Arabie saoudite, a été visé par une plainte déposée par une association yéménite pour son rôle dans la guerre au Yémen. Il est accusé de "complicité de torture et traitements inhumains".

Alors que le conflit yéménite n'en finit pas de s'enfoncer dans la violence, la question des ventes d'armes françaises à la coalition arabe se fait de plus en plus brûlante. Interrogée à ce sujet ce vendredi matin, Florence Parly a botté en touche.




Le roi Salman d'Arabie saoudite a signé un décret autorisant les femmes à conduire selon les organes de presse officiels mardi. La loi sera effective en juin 2018: une avancée pour le droit des femmes dans un pays ou il y a encore beaucoup à faire.

Une information judiciaire a été ouverte ce lundi et une juge a été saisie d'instruire l'affaire découlant de la plainte de trois associations contre la BNP Paribas. La banque est accusée d'avoir participé au génocide rwandais en 1994 en finançant une livraison d'armes.

Le dictateur nord-coréen Kim Jong-un a assuré dans les médias d'Etat ce vendredi qu'il était prêt à "faire payer" Donald Trump pour son discours à l'ONU. Mardi, le président des Etats-Unis avait déclaré qu'il pourrait "détruire totalement la Corée du Nord", qui est, selon lui, "un régime vicieux et corrompu".

Le président Emmanuel Macron a confié mardi à CNN qu'il comptait bien réformer le code du travail comme il l'entend, se montrant imperméable aux revendications des manifestants. "La démocratie ce n'est pas la rue", a-t-il déclaré. De quoi jeter de l'huile sur le feu pour la grande journée de mobilisation contre les ordonnances ce jeudi.

L'ONU s'inquiète de plus en plus du "nettoyage ethnique" en cours en Birmanie à l'encontre des Rohingyas. Aung San Suu Kyi, prix Nobel de la paix en 1991 et jusque-là favorable à l'action contre cette minorité musulmane, adoucit sa position.