Lyon : un chauffeur Heetch accusé de viol sur une cliente de 19 ans

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La rédaction de FranceSoir.fr
Publié le 17 mai 2016 - 08:47
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Un chauffeur occasionnel travaillant avec l'application Heetch est suspecté d'avoir violé une cliente de 19 ans.
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Un chauffeur occasionnel travaillant avec l'application Heetch est suspecté d'avoir violé une cliente de 19 ans, dans la nuit de samedi 14 à dimanche 15, à Lyon. Il a été interpellé.

La course s'est transformée en cauchemar. Une jeune femme de 19 ans affirme avoir été violée, dans la nuit de samedi 14 à dimanche 15, par un chauffeur VTC dans l'agglomération lyonnaise. Les faits se sont déroulés tard dans la nuit, à la sortie des discothèques.

La jeune femme qui a fait la fête en compagnie de ses amis et de son copain souhaite rentrer chez elle car elle se sent fatiguée. Elle fait donc appel à un chauffeur de la société Heetch, un concurrent de Uber, très populaire chez les jeunes noctambules.

Arrivée à son domicile, la jeune femme ne se sent pas bien. e chauffeur, âgé de 34 ans, propose alors de la raccompagner jusqu'à chez elle, et de l'aider à se mettre au lit, explique Le Progrès qui révèle l'affaire. C'est alors que l'homme aurait violé la victime, qui se débat et parvient à faire fuir son agresseur.

Très choquée elle raconte le lendemain l'agression sexuelle dont elle a été victime à son petit-ami venu la visiter. Ce dernier la presse alors de porter plainte ce qui permet aux policiers lyonnais d'interpeller un suspect rapidement. Selon le quotidien régional, le violeur présumé officiait illégalement en tant que chauffeur de la communauté Heetch.

Afin d'éclaircir toutes les circonstances de ce viol, la sûreté départementale (SD) du Rhône a été chargée de l'enquête.

Les sociétés de VTC ont déjà eu à faire à des signalements de leurs chauffeurs. Aux Etats-Unis, la société Uber a reçu 170 plaintes pour agressions sexuelles en trois ans. En Inde, où les agressions sexuelles des chauffeurs Uber son récurrentes, la compagnie a mis en place en février 2015 une nouvelle série de mesures de sécurité pour les clients, dont "un bouton panique".

Ce dernier nouveau dispositif permet de donner l’alerte "d’une simple pression en cas d’urgence", explique la start-up californienne qui a affecté une équipe de sécurité pour gérer 24h/24 les éventuelles activations et prévenir la police.

 

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