Emmanuel Macron se serait essayé à l'écriture d'un roman érotique quand il était adolescent

Révélation croustillante de la biographie de Brigitte Macron qui sortira en librairie le 17 janvier, le jeune Emmanuel Macron aurait écrit un roman "osé" quand il avait 16 ans. C'est du moins ce que rapporte une témoin, qui a retapé le manuscrit de l'ouvrage. Il connaissait déjà Brigitte Macron, enseignante de 25 ans son aînée.

Le 17 janvier prochain sortira aux éditions de l'Archipel Brigitte Macron l'affranchie, une biographie de la première dame. Et parmi son lot de petites révélations et autres anecdotes, l'une ne devrait pas manquer de faire sourire. Le livre affirme en effet qu'en 1993, Emmanuel Macron, qui connaissait déjà Brigitte, enseignante animant un club de théâtre, a rédigé un ouvrage coquin, à la possible portée biographique.

C'est le magazine Closer qui dévoile l'information. A l'époque, Emmanuel Macron, 16 ans, travaille sur une pièce avec son enseignante de 25 ans son aînée. En marge de ces activités culturelles, le futur locataire de l'Elysée s'essaie aussi à la poésie et au roman.

L'adolescent Emmanuel Macron va alors demander à une voisine, dactylographe, de lui retaper son ouvrage au propre. C'est d'ailleurs cette femme qui témoigne dans les pages de Brigitte Macron, l'affranchie et dévoile (un peu) le contenu du livre. "Je le connaissais du quartier et, un jour, il m'a demandé de taper les trois cents pages d'un livre qu'il venait d'écrire. C'était un roman osé, un petit peu cochon!", explique-t-elle, précisant que "les noms n'étaient bien sûr pas les mêmes mais je pense qu'il fallait qu'il exprime ce qu'il ressentait à l'époque".

Malheureusement pour les lecteurs –et sans doute bonne nouvelle pour le couple présidentiel– le manuscrit n'a pas été conservé, et l'on ne connaîtra rien des sulfureux écrits d'un futur président alors en pleine adolescence.

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Une anecdote qui rappelle en tout cas que le gouvernement a visiblement un tropisme marqué pour l'écriture érotique. Que ce soit Edouard Philippe qui, dans son roman Dans l'ombre (2011), faisait dire à un de ses personnages amateurs qu'"une vraie poitrine, c’est rond, c’est confortable, c’est accueillant et on doit pouvoir mettre son nez au milieu avec jubilation" ou Bruno Le Maire (qui a écrit des romans dans la collection L'Harlequin) qui évoquait dans Le Ministre un bain à Venise avec le souvenir du "savon de thé vert, et la main de Pauline (son épouse, NDLR) qui me caressait doucement le sexe", quelques écrits s'avèrent croustillants.

Mais tout cela reste bien loin de Marlène Schiappa qui aurait écrit sous le pseudonyme de Marie Minelli des guides sexuels (Osez les sexfriends) et des ouvrages un peu plus "corsés" que les deux ministres précités, et aux titres évocateurs: Les filles bien n'avalent pas et Sexe, mensonges et banlieues chaudes.